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Je m’appelle Anne-Catherine et suis mariée à Eric. Je suis blonde aux yeux verts et j’ai trente six ans. Je suis du style BCBG, bourgeoise à l’aise, j’ai conservé ma silhouette de jeune fille.
Les hommes me trouvent jolies, en tous cas, ils me le disent (et ils me le prouvent). Mon mari m’a épousée à 18 ans mais il m’a dépucelée à 16. Il croit que je lui fus toujours fidèle et que je n’avais jamais connu que lui. Je le lui ai toujours assuré d’ailleurs ! (j’écris : " je n’avais " puisque depuis peu Eric aime à se voir cocufier en me donnant à ses amis).

Je t’ai menti ! Menti sur toute la ligne. Dès le début ! Je ne suis pas du tout la sage et fidèle épouse que tu crois. Je ne l’ai jamais été ! tu es cocu, tu l’as toujours été ! Je t’ai toujours trompé !

Maintenant, tes nouvelles perversions te font me donner complaisamment à tes amis. Ils apprécient vraiment le cadeau et je me laisse faire apparemment docile. Ce n’est devenu que plus agréable pour moi, je m’envoie en l’air devant toi et ça te plaît !
J’en profite parce que je crois que je suis une salope, une vrai, une nymphomane exhibitionniste, une pute qui se fait mettre par tous les mâles qui lui plaisent et par ceux que tu décides maintenant de me fourrer entre les cuisses !
J’aime énormément les soirées que tu organises avec tes copains. Me retrouver la seule femme au milieu de trois (ou plus) hommes en rut me comblent littéralement et ton regard fixé sur tous ces membres qui me violent par tous mes orifices ajoute à mon excitation et à mes jouissances. J’adore être prise devant toi. Les amants que tu me donnes sont d’autant plus émoustillés qu’ils me baisent devant toi, le mari et je ne t’avais jamais vu aussi imaginatif que depuis les parties de jambes en l’air que tu programmes toutes les semaines.

Tu m’as dépucelée à seize ans, le coup de foudre ! Je t’avais innocemment vampé et tu m’avais enfin déflorée. Nous couchions ensemble très souvent, fous amoureux l’un de l’autre, n’est ce pas ? Ce qui ne m’empêchait pas d’avoir d’autres petits amis qui me sautaient allègrement jusqu’à notre mariage. Tu ne voyais rien, l’amour est aveugle ! Nous nous sommes mariés, quels moments !

Quels souvenirs ! Rappelle-toi, tu as du t’absenter pour aller chercher à l’aéroport l’un de tes amis après la cérémonie et ton frère, ton cher petit frère était tout désolé de me voir toute seule, abandonnée. Il a tout fait pour me consoler ?
Tu devines quoi ? Gagné ! Eh oui ! Il m’a baisée, dans le lit conjugal tout neuf, juste avant notre nuit de noce officielle ! L’hypocrite ! Il m’a coincée sous l’escalier en me disant que j’étais la femme la plus belle qu’il avait jamais vu ! Tu te souviens de ma robe de mariée ? Toute blanche, évidemment, toute courte aussi, si courte ! Vaporeuse et bouillonnante. Je portais des bas et une petite culotte très transparente. Ton frère m’a dit que j’étais à croquer, il m’a donc croquée !
Il m’a dit aussi qu’il avait bandé pendant toute la cérémonie et que tous les hommes qui y assistaient se trouvaient dans le même état que lui, même le curé ! Il n’a pas hésité longtemps avant de me trousser, de me porter jusqu’à la chambre nuptiale et de me culbuter sur le lit sans plus attendre. Après, je ne me souviens plus bien, j’étais émue, mais je crois que ton oncle est venu me visiter (quel euphémisme !), puis ton copain Georges, puis un autre.

Ah ! oui, j’oubliais les serveurs aussi, deux ou trois ? Très, très gentils, très serviables ! Et ton père me vit. Entre deux des serveurs, justement, et qui me pistonnaient vigoureusement en haletant et en me traitant de tous les noms que tu imagines. Et moi qui râlais de plaisir doublement emmanchée sur les pieux de ces deux loulous !
Pas content du tout mon tout nouveau beau-père. Je l’entendais, dans les éclairs de mes orgasmes, vociférer des menaces et des insultes pendant que les deux types finissaient de se vider dans mon ventre. Je me voilais la face, uniquement la face d’ailleurs. Je gardais les jambes bien écartées avec ma jolie robe de mariée troussée à la taille et il pouvait admirer à loisir l’ensembles de mes formes.
Je remarquais que ses yeux s’attardaient sur mon pubis maculé de sperme. Je pleurais, j’arguais qu’ils m’avaient presque violée, que je n’avais pas pu lutter contre des hommes aussi forts. Ma tête reposait maintenant sur ses cuisses et je sentais une bosse de plus en plus ferme grossir sous ma joue. Il me caressait les cheveux, je lui déboutonnais sa braguette pour sortir un beau membre bien raide que je m’empressais de gober.

Il me culbuta sur le lit, lui aussi, pour me fourrer sans plus tarder. Ton père, comme tu l’as remarqué, m’aime beaucoup. Il a fallu gagner notre vie et j’ai continué à travailler. Enfin, travailler… J’étais plus souvent le cul à l’air et les cuisses écartées qu’assise derrière un bureau. Qu’est-ce que j’ai pu me faire mettre, oh les salauds ! Tous mes patrons m’ont tringlée ! Tous ! Je ne parle pas des collègues, tu sais ce que c’est.

Mon premier emploi a été celui de secrétaire dans une agence immobilière. Avant même d’être embauchée, il a fallu que je passe à la casserole, comme ils disaient, c’était la règle. Il y a eu d’abord le chef du personnel, normal, puis le PDG, ensuite le directeur commercial dont je dépendais et le coursier parce qu’il me plaisait. J’ai travaillé avec un chef de service qui non content de me sauter se servait de moi comme appât pour ses affaires et comme récompense quand elles se concluaient ! Il gagnait bien sa vie. Je ne chômais pas, crois-moi, mais tu me connais, je suis consciencieuse ! Remarque, il faut bien avouer que je le cherche. Tu connais mes goûts pour les robes et les jupes ultra courtes et les petites culottes faites d’un léger voile blanc.
Il est évident que je ne peux pas m’asseoir sans m’exhiber involontairement et tu sais aussi que je ne porte jamais de soutien-gorge. J’ai remarqué que mes employeurs devenaient vite incontrôlables quand je me présentais devant eux, surtout quand en plus, " j’oubliais " de mettre la petite culotte.

Je me retrouvais le plus souvent les jambes en l’air sur le bureau avec la bite de mon futur chef plantée au fond de la chatte qui me besognait frénétiquement quand ils ne s’y mettaient pas à plusieurs ! C’est ce qui se renouvela à chaque nouvelle " situation ".

Ensuite j’ai été vendeuse dans une entreprise de sous-vêtements. Mes débuts furent identiques sauf qu’il y avait encore plus de chefs. Des grands et des petits. Nous leur servions de mannequin, mes petites collègues et moi, pour la lingerie (tous ces maris cocus !) et nous devions être très gentilles avec les gros acheteurs toujours très curieux avec leurs mains et le reste. Ils étaient très contents de moi. Tu te souviens peut-être mais j’ai cru que tu allais deviner un peu ce que je faisais un soir où tu es venu me chercher. Tu m’attendais depuis vingt minutes dans la voiture quand je suis arrivée. Tu étais d’humeur coquine et tu m’as caressée en conduisant. Tu m’as mis la main sur ma vulve et tu as été très surpris parce que j’étais toute grasse. Tu as cru que j’avais très envie. En fait, je venais de me faire mettre par deux clients en même temps et je n’avais pas eu le temps de me nettoyer. J’avais le con et le cul plein de leur sperme.
Tu m’as prise, tout excité et tout content, comme ça, dans la voiture. J’ai failli avoir un fou rire. Je ne vais pas te reparler du notaire ni du dentiste. Tu as été injustement jaloux, enfin presque et je ne suis pas resté chez eux longtemps. Oh ! J’allais oublier. Tu ne peux pas avoir oublié le propriétaire de notre premier appartement. Tu sais, celui qui nous réclamait toujours le loyer avec son air revêche. Qu’est-ce qu’il était laid et désagréable ! Mais on a eu des petits problèmes d’argent à ce moment là, tu t’en souviens ? Je me suis toujours demandé pourquoi tu ne t’étais pas posé de questions quand, du jour au lendemain, ce type nous a foutu la paix !
Alors là, ça m’a coûté ! Il m’a fait asseoir devant lui sur un fauteuil très bas, j’étais, comme toujours, mini jupée, tu imagines le spectacle. Nous avions trois mois de retard. Il m’a dit textuellement :

- "Ma petite dame si vous ne pouvez pas payer votre loyer, je ferme votre porte et il faudra coucher ailleurs dès ce soir, c’est tout. "

Je ne savais trop quoi faire, mets-toi à ma place, il avait les yeux rivés sur mon entrecuisse et il bandait, alors je les ai ouvertes un peu plus. Lui m’a baisée pendant trois mois mais pas seulement, il m’a donnée à ses avortons de fils, trois ! A deux de ses amis, qui n’en revenaient pas et même à son père ! Soixante dix ans mais encore vert, je te l’assure, il a fallu que je l’aide mais il y a réussi. Je te passe les détails, sordides !

Tu te souviens de ce charmant gynécologue qui s’est si bien occupé de moi ? Ce type m’a fait jouir comme jamais je n’aurais cru que cela fut possible. Il faut dire qu’il n’a pas pu se contrôler, lui non plus, quand, les cuisses écartées sur sa table d’auscultation, j’ai commencé à lui raconter un peu de ma vie de tous les jours. Il avait les yeux à trente centimètres de mon intimité et des doigts à l’intérieur. Cela me faisait de l’effet mais à lui aussi, alors quand j’ai commencé à parler, il est devenu fou. Ce ne sont plus seulement ses doigts qu’il m’a mis, tu penses bien. Je ne pouvais plus travailler, les enfants me prenaient trop de temps mais je m’ennuyais toujours à la maison, alors tu m’as acheté un magnifique berger allemand. C’est incroyable ce que ces animaux sont intelligents… Et câlins ! ...
Ils savent faire tout ce qu’on leur apprend… En tout cas, ça occupe ! Tu veux savoir comment ? Oh, c’est simple, je lui ai d’abord appris à me lécher, pour voir. C’est très agréable, il a une grande langue très douce. Puis un jour qu’il s’était excité en me léchant, je voyais le bout rose de son sexe sortir, je l’ai pris dans ma main et je l’ai un peu masturbé. C’est sorti complètement et c’est très long, alors je me suis mise à quatre pattes, il est monté sur mon dos et j’ai enfoncé sa verge dans mon vagin. J’ai joui très fort de cet accouplement. Je ne savais pas comment t’expliquer les énormes griffures que j’avais sur le dos. Mais depuis, il a la fâcheuse tendance à toujours me fourrer son museau sous ma jupette pour me sentir les fesses. C’est un peu gênant, surtout si je ne suis pas seule. Nous avons de charmants voisins, si serviables, un peu voyeurs, peut-être, un peu collants aussi et très, très entreprenants. Il y en a un qui m’a même fait du chantage, il me disait que si je ne couchais pas avec lui, il dirait à tous le monde et surtout à toi que je me faisais tringler par le facteur et que je me masturbais avec un énorme godemiché. Il m’avait vu, j’ai même pensé qu’il savait pour Médor. Alors, j’ai bien été obligée de lui céder, à lui aussi.

Quant à son ami, notre autre voisin, il m’a rendu service en réparant la machine à laver le linge. Tout travail mérite salaire, je n’avais pas d’argent sur moi et il n’en voulait pas non plus…
Je serais curieuse de savoir ce qu’ils disent de nous. Il faut t’avouer une chose, Eric, le facteur est vraiment très beau. Tu le connais mais il est timide, il t’évite. Il m’a dit un jour que cela le gêne de saluer quelqu’un alors qu’il baise sa femme. Il est très serviable aussi, mais je ne voulais pas que ces horribles voisins viennent te raconter qu’il attendait ton départ pour entrer à la maison même quand il n’y avait pas de courrier ! Tu aurais pu croire des choses et tu l’aurais mal pris, non ? Remarque, au point où nous en sommes, je peux bien te dire que ce facteur me fait très bien l’amour. Oui, au présent ! Là maintenant ! J’ai sa queue entre les cuisses bien enfoncée au fond du con et il me secoue tellement que je vais être obligée de m’arrêter de taper ! Ça le met dans tous ses états ce que j’écris ! Oh ! excuse-moi, c’était bon ! J’en ai partout maintenant. ça y est, il est parti. Il est increvable ce type !

Je reprends. Et puis j’ai couru les magasins. On peut faire des rencontres passionnantes dans les boutiques. Ne t’es-tu jamais demandé comment je pouvais changer si souvent de garde-robes ? J’ai passé des après-midi inoubliables avec des gens si sympathiques et si généreux. On m’a bien quelques fois traité de pute mais que veux-tu, il y a toujours des mauvaises langues. Une fois, cela aurait pu mal tourner. Tu connais mes goûts pour la jolie lingerie. D’habitude on m’offre tout ce que je désire mais un jour, une folie m’a prise. J’ai volé ! Pour la première fois j’ai volé, des culottes, des bas, des porte-jarretelles, que j’ai enfournés dans mon grand cabas ! Evidemment, je me suis fait repérer. Deux surveillants ont fouillé mon sac et ils ont tout trouvé. J’ai été conduite dans un petit bureau, ils me tenaient chacun par un bras et là, ils m’ont fouillée, moi ! Je n’avais rien sur moi que mes sous-vêtements, enfin ma seule et unique petite culotte. Et bien non ! Ils ont exigé que je l’enlève et ils me l’ont confisquée ! Ils ont fouillé aussi mon intimité ! Devant et derrière ! Avec leurs gros doigts sales ! Ils m’ont menacée de prison ! Je pleurais et il a fallu que je fasse tout ce qu’ils ont voulu pour qu’ils ne me livrent pas à la police !

J’ai été obligé de les sucer ! Puis ils m’ont pénétrée et ils m’ont baisée chacun leur tour ! Après ils m’ont prise tous les deux en même temps ! En sandwich ! J’aime ça mais quand même ! Ils m’ont gardée pendant tout l’après-midi ! J’avoue qu’ils m’ont fait jouir aussi. Il faut que je te raconte plus en détail un secret, un viol ! Mon viol, enfin presque ! En plus, celui-là est collectif ! Euh ! Oui !Ma soif de découvertes insolites, mes promenades solitaires et mini jupée me conduisent parfois dans des lieux peu fréquentables pour une faible femme. Surtout si elle n’est pas trop moche, européenne blonde et sexy.

Bref, je me suis retrouvée devant trois noirs gigantesques, coincée au fond d’une impasse. Que faire sinon subir ? J’ai subi mais alors subi ! Le premier qui m’a violée avait un membre insensé, sans te vexer, au moins trois fois le tien ! Je ne suis jamais arrivée à me le mettre dans la bouche, j’avais beau essayer, elle était trop petite (la bouche, bien sûr !). Enorme !
J’ai cru qu’il allait me déchirer quand il m’a pénétrée, pourtant je suis élastique et j’ai l’habitude. J’étais sur ses cuisses et je regardais, incrédule, cet incroyables engin noir qui s’enfonçait dans mon vagin aux lèvres blondes. J’étais remplie, comblée au-delà du possible, pleine de sa masse dure, il me défonçait le con, il me labourait, j’avais peur qu’il m’écrabouille l’utérus. Je n’ai jamais autant joui sauf quand après qu’il m’ait inondée de son sperme, les deux autres l’ont remplacé.
J’ai cru devenir folle, ils étaient aussi gros que le premier mais pendant que l’un me baisait, l’autre m’enculait ! Tu t’imagines ! Deux de cette taille à la fois ! Ils m’écartelaient. Cela a duré trois heures, ils étaient inépuisables. J’ai mis trois jours avant de m’en remettre mais quels orgasmes !

Une précision encore. Tu me dois une partie de ta réussite professionnelle. Ne sois pas étonné, je t’explique. Tu te souviens forcement du très gros contrat que tu as signé, il y a quatre ans avec les Canadiens. Ils te trouvaient très sympathique et compétent, c’est vrai mais tu offrais moins d’avantages qu’une boite belge. Tu peux dire : merci Anne-Catherine ! Pourquoi ? Je suis sûr que tu commences à deviner. Tu m’avais demandé de me faire belle pour le déjeuner que tu leur offrais. L’un d’eux m’a appelée après ce déjeuner, il voulait un rendez-vous. J’y suis allée et je me suis retrouvée au bar de leur hôtel devant tes clients. Ils étaient quatre ces Canadiens et sacrément baraqués. Le marché était simple, il signait avec toi si je couchais avec eux. Tu as signé le contrat mais je t’assure que cela a été un plaisir de te rendre ce service. Oh ! D’ailleurs un souvenir qui me revient à l’esprit et qui va te faire rire. ça c’est passé peu de temps après les canadiens.
Tu t’en souviens peut-être, je suis venue à ton bureau invitée pour fêter ta réussite. Tu étais très occupé et c’est l’un de tes collègues qui m’a guidée dans les bureaux, celui que tu n’aimes pas. Il était très troublé ce monsieur, il m’avait offert un whisky pendant que tu parlais et je voyais bien qu’il ne pouvait pas s’empêcher de lorgner ma petite culotte sous ma jupe toujours si courte. Je m’amusais de le voir si rouge et si émoustillé, visiblement. Il m’a emmenée dans une sorte de réserve et là, à quelques mètre de toi, il s’est précipité sur moi, il m’a troussée et avant que je puisse dire ouf !
Pan ! Il m’a enfilée debout ! J’ai même eu un peu peur que l’on nous entende. Il m’a dit que tu avais une veine de cocu ! C’était rigolo ! C’est aussi ce soir là que j’ai rencontré pour la première fois ton PDG et son associé. Ils sont adorables et ils t’apprécient. Ils m’ont surprise avec ton collègue lorsque sortions de ce cagibi un peu essoufflés. Je les connais bien maintenant. Eux aussi, bien sûr me connaissent bien et en détails. Ils m’aiment beaucoup. Nous nous revoyons souvent.

J’entends le facteur sonner, il a fini sa tournée et il repasse me dire un petit bonjour. Insatiable, cet homme ! Toujours deux fois ! Tu connais la suite. J’aime beaucoup que tu m’offres à tes amis, c’est nouveau. Continu j’y prends un plaisir immense. J’espère que tu n’es pas trop fâché par cette bien innocente et très brève confession pleine d’omissions, je m’en voudrais. Ta chère et tendre (je n’ose plus écrire " fidèle " mais le cœur y est), épouse.

Anne-Catherine.

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