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Il y a quelques mois, Jacques d'ordinaire plutôt avare de confidences, m'a avoué qu'il rencontrait régulièrement Amélie, en cachette de son mari Gérard… Jaloux comme est celui ci, ce n'est pas étonnant, mais ce qui l'est plus, c'est qu'Amélie ait accepté ces rencontres en cachette… Toujours est il que Jacques, sans doute pour me remercier de lui avoir permis de se faire Amélie, m'a alors proposé de me joindre à lui pour faire une petite surprise à la belle… Comme tu le sais, elle travaille dans l'immobilier, et comme ils avaient l'habitude de se retrouver certains après midi, dans une maison meublée du côté de Cailly, c'est là qu'il m'a fixé rendez vous pour deux jours plus tard, en me recommandant bien de garer ma voiture loin de là car la maison est un peu isolée et cela aurait pu lui paraître louche. Le jour dit, je gare donc ma voiture à cinq cent mètres de là et me dirige à pied vers la maison indiquée… Devant celle une seule voiture, celle de Jacques… J'entre, et là surprise… Jacques n'est pas seul… Trois autres types que je ne connais pas, sont avec lui… Je prend un air étonné (je le suis vraiment)… Jacques le remarque, et en m'accueillant, me dit: -"Ah Robert… Entre… C'est vrai, je ne t'avais pas dit… Tiens je te présente X…, Y…, Z…" (j'ai oublié les noms). Les types me serrent la main… L'un est pas mal, d'allure assez sportive, les deux autres du genre visiteurs de commerce, plutôt costaud mais d'allure assez vulgaire et avec du bide (plus que moi !). Nous sommes cinq et ma surprise ne fait que croître lorsque Jacques me dit: -"On en attend plus que deux…" Pas de doute, il lui a préparé un gang bang… Je lui demande si Amélie est au courant et si elle est d'accord ? Il sourit en me disant que "non" et en ajoutant: "Mais tu la connais… Je suis sûr que ça va lui plaire !" Je la connais oui, et en la baisant, il m'est bien arrivé de lui faire avouer qu'elle rêvait parfois de se faire baiser par une bande de mecs, mais du fantasme à la réalité, je trouve que Jacques va un peu vite… D'autant que les deux derniers mecs arrivent et que l'un d'eux est cent pour cent black…! Il nous reste une bonne quinzaine de minutes avant l'heure où Amélie doit arriver, alors Jacques, qui a apporté tout ce qu'il fallait, nous serre à boire… Whisky pour tout le monde… Il y a aussi plusieurs bouteilles de Champagne, ce qui n'est pas étonnant, car Amélie adore et Jacques le sait aussi bien que moi.. Soudain un bruit de voiture… Jacques nous fait éteindre les lumières et nous nous retrouvons dans la pénombre car les volets sont fermés… Claquements de talons sur l'escalier extérieur, la porte de dehors s'ouvre puis se referme… nouveaux claquements de talons sur le carrelage de l'entrée… Une petite voix: -"Jacques… Tu es là ?" -"Oui… je suis au salon…" Elle entre en hésitant, nous la voyons en silhouette.. -"Mais pourquoi as tu éteint ? Ou es tu ?" Je vois son ombre, il se glisse derrière elle pour lui couper la retraite, et rallume soudain… Stupeur !… Peur même… Amélie pousse un cri et a un mouvement de recul… Elle se retrouve dans les bras de Jacques… Elle balbutie: -"Mais que… Qu'est ce que ça…" Jacques la serre contre lui, la rassure… Il lui explique qu'il a décidé de lui faire une petite surprise (tu parles d'une petite surprise !) Moi je suis persuadé qu'elle va foutre le camp et c'est bien ce qu'elle manque de faire… Elle n'arrête pas de répéter: -"Non Jacques.. Tu n'aurais pas du… Non… Non.. Laisses moi partir…" Mais lui insiste (en douceur il faut le dire), cherche à la rassurer, à la mettre en confiance, l'assure qu'elle n'aura rien à faire qu'elle ne veuille pas… Il parle seulement d'"exhib"… Elle semble se calmer un peu, accepte une coupe de Champagne… L'air très gêné néanmoins, Jacques lui présente les hommes présent; aucun d'eux n'a dit un mot jusque là… Elle me fait la bise, alors les autres y ont droit aussi, bien qu'elle ne les connaissent pas. Nouvelle coupe de Champagne… Jacques lui propose alors de nous faire un petit strip… Elle se fait un peu prier, mais laisse Jacques lui ôter sa petite veste… Elle est comme d'habitude vêtue de façon très chic, très "classe", jupe noir dix centimètres au dessus du genou, corsage en soie de couleur sombre, collier de perle, escarpins à talons… Jacques met de la musique et la harcèle… Elle finit par accepter d'onduler au rythme de la musique, et… oh surprise !… de commencer à déboutonner son corsage en baissant les yeux d'un air gêné… Elle prend son temps, mais le spectacle est agréable… Le dernier bouton détaché, le corsage s'ouvre et dévoile un soutien gorge noir à balconnets… C'est un modèle plutôt sexy, mais Amélie porte volontiers ce genre de lingerie, et puis, elle venait là pour y retrouver son amant… Jacques finit de lui ôter son corsage, puis comme la musique (sans doute préparée par lui) est un slow, il la prend dans ses bras pour danser… Elle se laisse faire… Tout en dansant, il a mis les mains sur les hanches d'Amélie, et fait lentement relever son étroite jupe noire, nous révélant ses superbes jambes gainées de noir… La jupe remonte de plus en plus haut arrivant à la lisière de la dentelle des bas… Bas ou collants ? Non, il s'agit bien de bas… Des Dior ou des Saint Laurent à première vue… La jupe arrive au ras des fesses… Ce sont de vrais bas, avec porte jarretelles ! Sans doute une exigence de Jacques, je sais qu'il adore… Le derrière de la jupe dévoile le bas des fesses… Elles semblent nues… Amélie penchée sur l'épaule de Jacques, cache son visage dans le cou de celui ci… Les fesses sont bien nues mais j'aperçois la fine ficelle d'un string… L'ambiance est torride… Je sens bien que tous les mecs ont envie de se ruer sur elle, mais ils se contrôlent tous… Tout en dansant, les mains de Jacques sont remontés dans le dos d'Amélie. Il la serre contre lui, mais surtout, je vois qu'il s'attaque à l'attache de son soutif… Celle ci semble d'ailleurs lui résister… Alors, semblant soudain changer d'attitude, Jacques se recule et tout aussi vivement, agrippe les bords des bonnets du soutif, pour les tirer brusquement vers le bas… Les nichons de la belle jaillissent ! Des seins superbes, plus gros et plus fermes que ceux d'Evelyne, et même que ceux de ma jeune maîtresse Eva… Amélie est surprise, elle a un moment de peur qui ne fait que s'accentuer lorsque Jacques, au lieu de la reprendre dans ses bras, la pousse soudain au milieu de la pièce… Elle est superbe avec son air craintif, les nichons sortis du soutif, la jupe roulée en ceinture à la taille, en bas, porte jarretelles et escarpins, et avec ce string noir qui cache à grand peine son pubis… Se retrouvant face à nous, elle a mis ses mains devant ses seins, comme par réflexe, pour les cacher… C'est alors qu'un des "représentants de commerce" lui lance d'un ton autoritaire: -"Retire tes mains de là, salope !" Un instant je me dis: "Il va tout faire rater…". Effectivement Amélie a un moment de panique.. Elle cherche le regard de Jacques pour se rassurer, mais il sourit… L'homme insiste: -"Retire tes mains de tes nichons… et retire tes frusques !" Cette fois elle est comme figée, incapable ni d'obéir, ni de se rebeller. Alors l'homme d'un ton de plus en plus ferme, lui dit: -"Allez ! Magne toi ! Et je te conseille de tout retirer, sinon on risque d'abîmer tes jolies nipes… Parce que, si tu n'as pas encore compris, on va tous te tirer ma belle…!" Je m'attends à tout, sauf à ce qui soudain se passe sous mes yeux: Amélie obéit, libère ses seins, et se met docilement à ôter les quelques vêtements qu'il lui reste… D'abord le soutif, puis la jupe qu'elle dégrafe, puis fait glisser jusqu'au sol… Enfin le string, dévoilant un pubis… nu ! Je suis le premier surpris car la dernière fois où je l'ai vue, quelques mois plus tôt, elle n'était pas épilée… Je me demande en moi même si c'est Jacques qui le lui a demandé et ce qu'elle a raconté à Gérard… Elle ne porte plus que ses bas, son porte jarretelles et ses escarpins… Le gros homme, toujours aussi sûr de lui, lui dit alors: -"Bien… Maintenant approche un peu…" Elle obéit docilement… -"A genoux… Sors la moi et pompe !" Je n'en reviens pas… Amélie n'a aucun mouvement de révolte, elle obéit à l'homme, s'agenouille docilement devant lui, et sans hésiter, déboutonne la braguette de son pantalon, avant de glisser sa main dans l'ouverture… Je ne sais pas si l'homme porte un slip ou si la belle est particulièrement experte, mais elle en extirpe presque instantanément, une assez belle bite qu'elle engouffre sans hésiter… Je suis sidéré ! Nous nous rapprochons tous et les entourant… Elle est a genoux au milieu de nous, alors bien sûr, nous sortons tous nos queues… Bon, ça va… ils me dépassent quasiment tous en longueur, mais pas de beaucoup (sauf le black!), il y en a même que je dépasse en épaisseur… Du coup je ne me sens pas trop complexé, et j'offre ma bite à sucer, comme les autres… La belle ne sait plus où donner de la bouche et des mains, mais elle se débrouille bien… De toute évidence, on sent combien la situation l'excite… De temps en temps, Jacques lui tend la coupe de Champagne… La salope nous suce de façon de plus en plus gourmande… Nous bandons tous ! Le gros a une bite trompeuse… Au repos elle semblait normale mais maintenant qu'il bande, elle est vraiment très très épaisse… Quand elle le suce, Amélie en a la bouche déformée, les commissures tendues, mais ça ne doit pas lui déplaire, loin de là, car c'est lui qu'elle revient le plus souvent sucer… L'homme l'a remarqué lui aussi et il lui dit: -"Elle te plaît ma bite, hein ? Je parie que tu en as envie, hein ?" Amélie ne répond pas mais se met à le pompelarder avec encore plus d'avidité, trahissant son excitation. L'homme insiste, il ressort sa queue de sa bouche et lui dit: -"Dis le ! Dis le que tu en as envie…!" -"…Oui…" Je n'en reviens pas… Mais cela ne suffit pas à l'homme: -"Dis le mieux que ça ! demande là moi…!" Et avec son air gêné, elle prononce ces paroles incroyables: -"… Oui… J'ai envie de ta grosse bite… J'ai envie que tu me la mettes !" Comment résister à une pareille invite ? L'homme passe derrière elle et la fait se relever, puis la courbe en avant. Du coup c'est moi qui me retrouve devant elle, et sans hésiter, elle engouffre ma bite entre ses lèvres… Tandis que le gros s'est mis en devoir d'enfiler une capote, un autre mec s'est placé derrière Amélie et lui fourre deux doigts dans la fente, histoire de la branler… Le résultat ne se fait pas attendre (je t'ai déjà parlé de cette particularité de la belle Amélie !) et un clapotis obscène se fait bientôt entendre… Le type paraît surpris… Il s'exclame: -"Putain la salope ! Elle en a tellement envie qu'elle me pisse dans la main…" Un bref instant je sens les dents d'Amélie se resserrer un peu sur mon membre tant ces paroles semblent la troubler… Jacques qui observait la scène en souriant nous dit d'un air ravi: -"Oui Madame est une grande mouilleuse…" -"Tu parles ! C'est une fontaine oui…" répond l'autre, et comme pour prouver ses dires, il se met à doigter la fente d'Amélie à grands coups de poignet… J'ai assez souvent pratiqué ce genre de chose avec elle pour être étonné du résultat, mais les autres mecs semblent plus que surpris, car le clapotis devient de plus en plus obscène et en moins de dix secondes, Amélie libère les vannes, arrosant copieusement la main de son branleur… Celui ci n'arrête pas pour autant et continue à doigter la moule ruisselante. D'ordinaire Amélie assume plutôt bien cette particularité, mais là en présence de tous ces mecs, je le sens très très troublée… D'autant que les commentaires vont bon train: -"Putain la salope ! Quelle grosse pute ! Putain les mecs, je crois qu'on va se régaler la bite…" Le gros s'approche enfin derrière elle, il a fini d'enfiler sa capote et quand on voit le résultat, on comprend qu'il ait eu du mal, car le morceau ne doit pas faire moins de six centimètres de diamètre… Il met deux mains sur les superbes hanches d'Amélie, et se plante plutôt énergiquement… La belle gémit malgré le bâillon que constitue ma bite… Mais le gros ne semble pas du genre à raffiner; deux ou trois va et vient et sa bedaine vient claquer sur les fesses d'Amélie… Il lui a tout mis ! Agrippant alors fermement la croupe de la belle, il se met à la limer d'un va et vient régulier mais puissant… Le black s'est présenté à côté de moi, et la bouche d'Amélie abandonne ma bite pour absorber la sienne… Mal lui en prend, car le gros se met à la bourrer de plus en plus puissamment, et les coups de bite se répercutent à tout son corps, jusqu'à sa bouche, l'obligeant à absorber bien plus long de la bite du black qu'elle n'en est capable… Je la vois suffoquer… La scène m'excite terriblement… En cessant de me sucer, Amélie a pris le relais en branlant ma bite de sa main, mais elle a maintenant entre les doigts un engin plus raide que l'acier… Mon désir est de plus en plus violent, de plus en plus incontrôlé… Sous mes yeux, la belle Amélie se fait défoncer par un gros type tout en pompant un nègre… Elle a des gémissements étouffés que visiblement, elle ne peut réprimer… Ses nichons pendent sous sa poitrine et ballottent lourdement sous les coups de bite… La scène dure encore un moment, le gros mec résiste et bourre toujours… Tous les mecs maintenant ont tombé le pantalon et le slip… Deux s'affairent à enfiler des capotes… Sentant mes limites, j'ai voulu me reculer, céder la place à un autre, mais Amélie n'a pas lâché ma bite… Sans doute même a t-elle senti à quel point je suis prêt à exploser… Toujours est il qu'au lieu de relâcher la pression, elle se met à m'astiquer la manche d'un mouvement énergique… La salope !… Le résultat ne tarde pas… Je pousse un râle, et soudain une fusée de foutre part de la base de ma bite pour gicler avec violence ! Comme je n'ai pas baisé les deux jours précédents, en prévision, la belle le paquet… Je peux même dire "les" paquets, car non seulement je lui balafre le visages de trois traînées gluantes, mais deux autres mecs, excités par la scène, lui éclatent à leur tour au visage… Ca me rassure, je ne vais pas passer encore une fois pour le "lapin" de service ! Le subtil maquillage d'Amélie en a pris un coup… Mais elle s'en fout car maintenant elle se met à gueuler sous les grands coups de bite du gros qui visiblement veut cracher à son tour… Il semble avoir du mal à venir et s'acharne à grands coups de reins, ce qui n'a pas l'air de déplaire à la Dame… C'est alors que je m'aperçois que la capote du mec, ou du moins ce qu'il en reste, est roulé en anneau à la base de la bite… De toute évidence, le préservatif a craqué, ce qui n'a rien d'étonnant compte tenu de la largeur de l'engin et de la violence que met le mec dans ses assauts… Je manque d'intervenir car je sais qu'Amélie ne supporte ni la pilule, ni le stérilet, et que sa seule méthode de contraception est le préservatif, mais comment arrêter un couple sur le point de s'éclater…? D'ailleurs il est trop tard, le type pousse un beuglement de bête et reste planté à fond, tandis qu'Amélie hurle comme je ne l'ai jamais entendue… Peut être parce qu'elle vient de sentir que le mec lui jute vraiment au fond de la chatte ! Le gros est exténué et après être resté une quinzaine de secondes planté en elle, il se retire et va s'écrouler dans un fauteuil… Sa bite commence à se ramollir et pend lourdement… Dans cet état, elle paraît encore plus grosse… Un autre type veut immédiatement prendre le relais, mais Amélie s'est redressée et l'arrête… Je le vois murmurer quelques chose aux deux mecs qui l'entourent, puis à Jacques, et se diriger vers la salle de bains… Deux mecs ne tardent pas à lui emboîter le pas et à vouloir entrer avec elle dans la salle de bains… Je m'attends à les voir se faire refouler gentiment, mais non… Ils sont entrés derrière elle et ne ressortent pas… J'hésite à les rejoindre… je résiste un moment, puis je n'en peux plus… Je me glisse dans le couloir jusqu'à la porte de la salle de bains mais je n'entre pas… J'ai plus envie de voir (et de savoir) que de réellement participer… Et le spectacle auquel j'assiste vaut le coup… Amélie est assise nue sur le bidet, les cuisses écartées, face à la porte, et elle pratique d'une main ses ablutions, tandis que son autre main et sa bouche, s'occupent des bites que les deux mecs lui tendent… L'un des deux types semble avoir du mal à bander; pourtant la scène ferait bander un impuissant… Je ne tarde pas à en comprendre la raison, quand celui ci se recule, saisit son sexe de sa main, et… se met à pisser ! Amélie sursaute mais en fait, sa surprise ne semble pas aussi grande que cela… Le jet d'urine lui éclabousse les seins et dégouline le long de son corps… Je le vois fermer les yeux, non d'horreur, mais visiblement de honte, sans doute trop troublée du plaisir qu'elle ressent à sentir le chaud liquide ruisseler sur son corps. Les trois complices finissent par se retrouver sous la douche… Je regagne le salon. Jacques vient vers moi et me dit: -"Ca a l'air de lui plaire hein ?" -"Plutôt oui… Tu ne lui avais vraiment rien dit ?" -"Pour aujourd'hui ? Non rien, c'était une surprise… Bien sûr on avait déjà parlé de ça comme ça, dans le vague, en baisant… avec toi aussi je suppose…?" -"Oui… J'avais aussi remarqué que ça l'excitait vachement quand je lui disais ça…" Jacques n'eut pas le temps de répondre, car Amélie revenait… Elle souriait, mais avec cependant un air gêné, semblant vouloir dire (ou faire croire): "Qu'est ce que vous m'avez fait faire !" Bien sûr elle ne tarda pas à être entourée de nouveau mais cette fois je l'entendis dire: -"Je préfère qu'on aille dans une chambre, ce sera plus confortable…" Alors débuta une sacré séance de baise, Amélie dans une chambre au premier étage de la maison, tandis que les mecs se relayaient, généralement à deux, parfois à trois, pour aller la baiser… Dans le salon, l'ambiance n'était pas moins chaude car nous commentions en riant le tempérament de la belle, et par moments nous parvenaient du premier, ses cris de cris de jouissance… Les deux gros et le plus jeune, ayant tous trois tiré leur coup, prirent congé… Les deux autres voulurent s'esquiver à leur tour, mais Jacques leur dit: -"Non, vous pouvez rester… ". Il se tourna vers le black et ajouta: "Toi avec l'engin que tu te paye, tu passeras le dernier, ça ne te gêne pas ?… On y va y aller avec Robert…", puis se tournant vers le dernier, il lui dit: "Toi tu viendras nous rejoindre dans un moment…" Les types approuvèrent et je suis donc monté avec Jacques rejoindre Amélie… Elle reposait nue sur le lit, dans la pénombre, visiblement épuisée parce qu'elle avait déjà subit. Nous nous sommes mis nus, comme elle, et nous sommes nous aussi allongés sur le lit… De baiser en baiser, de caresse en caresse… la belle voit son désir renaître… Nous avons envie d'elle… nos queues le démontrent très bien… Ouffffffffff… La bouche de Jacques vient prendre possession d'un de ses seins qu'il gobe littéralement et ma main vient s'insinuer entre les cuisses de notre superbe salope. Son entre-jambe est tellement juteux que j'ai un moment la tentation d'aller m'abreuver à cette source, mais le fait de ne pas savoir si ses amants ont utilisé un préservatif, et si sa mouille n'est pas mêlée de sperme me fait hésiter… Finalement je me contente de la doigter à coups de poignet énergique… Je sais trop bien combien elle aime ça…! Je semble n'être d'ailleurs pas le seul à le savoir car le lit sous elle, est absolument trempé… Je vois que la belle a du se laisser aller comme elle en a l'habitude… On se demande comment elle peut avoir autant de ressource… Il faut dire que Jacques a pensé à tout, et qu'une bouteille de Champagne, avec deux coupes, se trouvent sur la table de chevet… La bouteille est d'ailleurs déjà presque vide… Jacques continue à lui sucer les seins et ses mains caressent la pointe érigé du seins qu'il ne suce pas… Amélie gémit bruyamment et se tord de plaisir. Ce Jacques, il a quelque chose d'extraordinaire; il n'est ni beau ni laid, il a une bite ordinaire, ni petite ni grosse, il a une endurance normale, mais pourtant il les fait toutes craquer… Elles adorent toutes baiser avec lui… C'est le cas ici… Amélie gémit très fort et bientôt je l'entends le supplier de la baiser: -"Viens ! Je veux que tu me prennes… Je veux te sentir en moi… Je veux que tu me défonces…" Jacques ne se fait pas prier… Il glisse sur elle, lui saisit une jambe, une seule, et la remonte jusque sur son épaule, avant de la pénétrer sans hésitation… Le temps n'est plus aux fantaisies et il se met à la baiser égoïstement, violemment, en ne se souciant que de son seul plaisir…! La belle jouit très vite, et bien que Jacques ne cherche nullement à se contrôler, je devine qu'elle jouit à plusieurs reprises avant qu'il ne se déverse en elle… C'est alors seulement que je réalise qu'il l'a prise sans capote… Je suis plutôt surpris, car jusqu'alors, Amélie en a toujours exigé de moi… Ils sont en sueur mais heureux... Jacques allume une cigarette, Amélie se tourne vers moi, se courbe et prend mon sexe dans sa bouche… J'ai envie de la voir… J'allume la lampe de chevet et l'oblige à me regarder dans les yeux tandis qu'elle me suce… C'est étrange, j'ai l'impression qu'elle me suce plus vicieusement que d'habitude… Elle m'a décalotté à fond et sa langue joue avec mon gland tandis que sa main me malaxe les boules… Soudain elle m'attire sur elle et écarte largement les cuisses. Je tend la main vers le chevet où se trouvent des préservatifs, mais elle me murmure d'une voix pleine de désir: -"Non viens…" Vu les difficultés que me posent parfois les préservatifs, je ne me le fais pas dire deux fois, et je l'enfile d'un coup, jusqu'à la garde, bien profondément, lui arrachant un gémissement d'enfer: "....ouiiiiiiiiiiiii vas-y baise moi ouiiiiiiiiiiiiiii !" Ce n'est pas un gémissement de douleur, car il n'est pas besoin de le dire, la belle a la moule béante ! Après les mecs qui s'y sont succédés, cela n'a rien d'étonnant… Moi ça ne me gêne pas… Il faut dire qu'avec Evelyne, je suis déjà habitué à baiser "confortable", mais a sans conteste une plus elle crevasse encore…! Rendu plus endurant par ma première éjaculation, je la baise plutôt bien (tu vois que ça arrive !) et je résiste à ses supplications qui d'ordinaire me font jouir trop vite… -"Oh oui… Vas y..! Plus fort… Oh comme c'est bon.. ouii ! ouuiiiiiii !!!!" Jacques voyant que je tiens le coup, me mets la main sur l'épaule, et me dit: -"Attends… Mets toi sur le dos…" Stoppé dans mon élan, je manque de l'engueuler mais me ravise…Amélie n'a rien dit… Je roule sur le côté et me retrouve bite dressée… Amélie a une légère hésitation puis se redresse, m'enjambe, et saisissant mon sexe de la main, se le place elle même avant de s'empaler dessus… Jacques vient se placer derrière elle, et la pousse pour la faire se courber en avant de façon à bien offrir son cul… Je ne peux y croire… Amélie ne m'a jamais offert son cul; d'ailleurs dès nos premières rencontres, son mari Gérard m'avait prévenu qu'elle ne l'acceptait pas… Amélie est penchée sur moi, sa bouche contre mon oreille, ma bouche contre la sienne… Elle pousse un gémissement… Je lui demande d'un ton ferme: -"Qu'est ce qu'il fait ?". Elle murmure: -"Il… il me met un doigt…" -"Où…?" -"Dans… dans l'anus…" -"Salope ! Tu prends dans le cul maintenant ?" -"… ". Elle ne réponds pas, mais bientôt un nouveau gémissement, plus fort, et je sens son corps se contracter contre le mien. -"Qu'est ce qu'il fait ?" -"Il… il m'a mis un autre doigt…" -"Il 't'encule ? Il t'a déjà enculée ?" -"..Oui…" avoue t elle dans un aveu…. Cette fois je vis Jacques se mettre en place derrière elle. Sans doute commençait il à pousser sur la rondelle, car cette fois Amélie redressa sa tête et supplia: -"Ooohh.. Doucement… hummmmmmmm ouiiiiiiiiiii tout doucement mon amour.....ouffffffffffff " Bien que ne le voyant pas, je sentis que le gland était passé… D'ailleurs Jacques resta un moment immobile, le temps que l'anus s'habitue à la présence de ce gros suppositoire… Amélie, sans doute pour résister un peu à cette pénétration, se poussait en avant et ainsi s'empalait à fond son mon vît dressé, bandé à bloc !… Elle poussa un râle… Sans nul doute, Jacques venait de lui mettre le reste de sa bite. J'avais le visage d'Amélie à quelques centimètres su mien, et cela m'excitait royalement… Nous l'avons alors baisée et enculée en cadence, en un sandwich parfait, et ils ont finis par jouir comme des fous… Moi je n'en revenais pas, mais je tenais le coup, je bandais toujours raide… Amélie a fini par se dégager et s'affaler épuisée, à plat ventre, sur le lit… Moi, j'étais bien décidé à profiter de la forme qui était la mienne… J'ai enjambé son corps et je me suis retrouvé à califourchon sur ses cuisses. Cette fois, il n'était pas question qu'elle dise "Non"… Je dirige mon barreau bien raide entre ses fesses rondes et me plante ! Pas ou peu de résistance… Ma bite s'engouffre entre ses fesses… Il faut dire qu'elle vient de se faire enculer par Jacques… C'est à mon tour de me venger, je me plante à fond, je la ramone, je la pilonne, je l'encule en ne me souciant que de mon seul plaisir. Me soulevant sur mes bras, je la tringle de toute la longueur de ma bite, la ressortant presque à chaque fois, avant de la lui planter de tout mon poids… Ah la salope… Là je lui en mets vraiment plein le cul, et elle ne tarde pas à chanter, à gueuler ! Elle prend un pied d'enfer… Mois je résiste encore mais je suis crevé… C'est trop con, mais je n'en peux plus… Je bascule sur le côté et me retrouve à nouveau la bite dressée… Stupeur ! La belle ne semble pas en avoir encore assez et m'enjambe à son tour… Elle retient mes cuisses entre ses jambes et se place à genoux au dessus de ma bite dressée… Elle se laisse descendre sur ma queue et s'empale… par le cul ! Son anus s'ouvre, sans difficulté et bientôt son clito est dans mes poils… Elle se déchaîne alors, monte, descend, s'empale avec une superbe énergie… Ses seins montent et descendent lourdement au rythme de ses empalements… Cela doit lui faire mal car je la vois les retenir de ses mains; mais c'est pour s'empaler avec plus de violence encore sur ma bite… Elle semble hystérique… Je bande un max et des frissons parcourent mon corps… Je ne résiste plus lorsque je sens son anus se contracter des spasmes du plaisir… Je me déverse en elle, hurlant ma jouissance ! -"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii" Nous restons un bon moment affalés l'un sur l'autre… Lorsque j'émerge, Amélie est encore étendue inerte, épuisée… Jacques et moi la laissons récupérer et redescendons en bas… L'un des deux types est parti mais le black est toujours là. Il nous dit que le type n'a pas voulu attendre. Jacques s'excuse et lui demande si lui il peut encore rester un peu. Le type confirme… Jacques lui dit: -"Bon écoute, tu lui laisse un quart d'heure pour récupérer, et puis tu vas la rejoindre… Mais tu te la fais quand même rapidement, parce qu'il faut qu'elle soit rentrée chez elle à dix neuf heures trente au plus tard… Alors le temps pour elle de récupérer, de prendre une douche, de se remaquiller, ça te laisse quand même une bonne demi heure… OK?" Le noir souriait largement… Apparemment cela lui convenait parfaitement… Il semblait d'un milieu assez populaire et n'avait pas du souvent baiser de bourgeoise ! Jacques se tourna vers moi et me dit: -"Tu restes Robert ?" Vous vous doutez que j'aurais bien aimé, mais j'avais des rendez vous et j'étais déjà en retard… C'est la mort dans l'âme que je pris congé… Tout le long du chemin du retour, je ne pus m'empêcher de penser qu'Amélie, la superbe Amélie, la si "BCBG, la si "classe" Amélie, était en train de se faire défoncer la chatte… et probablement le cul… par une grosse et longue bite de "nègre"… 
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