
Anne a 41 ans, elle est l'épouse d'un homme d'affaires très riche...Elle a l'habitude d'évoluer dans les plus hautes sphères de la société. Souriante, douce et raffinée, Anne est ce qu'il est convenu d appeler une femme du monde. La fortune de son mari lui permet de remédier aux premiers outrages de l'âge. Les soins esthétiques constants et la pratique régulière de la danse lui ont permis de conserver le ravissant visage et le corps magnifique que lui a donne la nature et que lui envieraient bien des jeunes filles. Georges, le mari d'Anne, était entre en contact avec Simon par le biais d'un journal de rencontres on-line... un site de rencontres un peu... spéciales... Son annonce était la suivante : " mari voyeur cherche complice pour piéger son épouse, la voir entre les mains d'un tiers, pour 1ère expérience S.M... Tact et raffinement requis... Epouse non informée. 1er contact préalable entre hommes. Ecrire au journal sous référence... " Lors de leur première rencontre, Georges et Simon convinrent d'un scénario pour arriver au but recherche : déstabiliser Anne très progressivement, sans qu'elle se rende compte du dérapage graduel de la soirée... Pour cela, Georges donna quelques indications a Simon. Tout d'abord Anne est extrêmement sensible aux hommages appuyés a sa beauté et a son charme. En effet, comme beaucoup de très belles femmes, on ne rend que très rarement hommage a sa beauté par la parole... Les hommes se contentant de quelques regards furtifs et quelque fois appuyés sur ses charmes anatomiques... D'autre part, Georges confia a Simon que son épouse, dans certaines situations troublantes lui paraissait assez rapidement déstabilisée... Sans avoir jamais pu vérifier jusqu'où ce trouble pouvait la conduire dans une situation telle que celle qu'ils imaginèrent ensemble... Georges devait se rendre a cannes, pour y rencontrer d'importants clients allemands. Il avait alors décidé qu'Anne l'accompagnerait, et qu'ils prolongeraient leur séjour au Negresco pendant tout le week- end. Le soir, pares le départ des allemands, Anne et Georges dîneraient au restaurant de l'hôtel. La, le maître d'hôtel, les placeraient a cote de la table ou Simon serait installé seul. Ensuite, Georges engagerait la conversation avec Simon qui, tout en dînant, jetterait un coup d'œil a quelques photos d'un défilé de mode, posées sur la table a côté de son assiette. Simon se présenterait alors comme étant un photographe de mode... Et la soirée commencerait ainsi...la suite, vous le verrez, sera tout aussi subtilement orchestrée... Quand Simon la vit pour la première fois dans le hall de l hôtel, il lui donna trente ans tout au plus, et il se plut a constater la différence d'âge si physiquement marquée avec Georges. Le hasard (bien rémunéré...) Voulut que le maître d hôtel les plaçât juste a cote de la table de Simon... Il les regarda s approcher. Georges, grand et sec, vêtu d un complet en flanelle grise , les cheveux blancs impeccablement coupes , était conforme a l'image qu'on se fait d un homme d'affaires assis dans la vie. Il marchait un pas derrière Anne, souriant, visiblement fier et amuse des regards furtifs que les quelques clients masculins présents dans le restaurant jetaient discrètement sur elle. Tenant d une main son sac, elle avançait d un pas souple. Elle souriait légèrement, son regard doux ne fixant personne... Comme il sied a une femme bien élevée... Simon s'amusa a l'estimer du regard. 1m 65...70 tout au plus......difficile a dire ...en raison des hauts talons de ses escarpins. Le galbe de son pied, la finesse de son mollet et son genou bien dessine était en tout point remarquable. Il sourit en constatant qu'elle portait une jupe portefeuille plissée arrivant a mi-cuisses, un peu plus courte qu'il eut convenu a une femme de son standing... Mais la vue de ses cuisses fines et graciles gainées de Nylon ou de soie grise occupaient plus son esprit que ces considérations de bienséance... Il s'amusa intérieurement en pensant aux trésors d'imagination et aux arguments que Georges avait du déployer pour convaincre Anne de porter cette jupe si sexy...( Il lui avait avoue qu'il justifierait auprès d'Anne, ce week end a cannes, par l'envie de passer avec elle un week end d'amour...et de folies...elle lui avait alors promis dans un charmant sourire de se faire la plus belle possible... Le moins que Simon puisse dire, c'est, qu'a première vue, c'était réussi....) Son corps paraissait parfait... Et superbement mis en valeur par ses vêtements... La ceinture de sa jupe mettait en évidence l'extrême finesse de sa taille, son chemisier fin, en satin blanc offrant une perspective charmante sur le volume de son buste... : des seins bien proportionnes... Compte tenu de la finesse de son corps... Le chemisier était juste ferme par une broche formant un décolleté en v. Plus bas, les pans du chemisier étaient plaques contre son ventre, retenus par la ceinture. Le tout offrait aux regards une vue charmante sur sa gorge fine jusqu'à l'entreseins dévoilant a peine la naissance de la poitrine. Simon remarqua également la finesse de son cou et de ses épaules... Un visage charmant et race... Des yeux transparents, des cheveux aux reflets auburn coupes danc un carré court impec cable...légèrement maquillée... Anne s'assied a cote de Simon...sur la même banquette... Dans son geste discret pour ramener sa jupe sous elle, Anne ne put empêcher ses cuisses de se dévoiler un instant, laissant au regard de Simon, sous l'œil complice de Georges et a l'insu d'Anne, la courbe pleine et gracieuse de ses cuisses harmonieusement dessinées, sous la soie brillante... Simon sourit en apercevant fugitivement la couleur plus foncée de ce qu'il constata alors être la lisière d'un bas... Simon et Georges conversaient depuis quelques minutes, sur le métier de photographe, ses attraits...ses contraintes...échangeant toutes les banalités qu'on peut échanger sur un métier. Anne se contentait de suivre la conversation en silence, la ponctuant de temps a autre d'un sourire...c'est alors que Simon plaça son premier trait... Georges, sur un ton badin, venait de dire a Simon, qu'a force de photographier des mannequins, il devait être blasé des jolies femmes... réflexion anodine... en apparence... Simon, feignant une attitude teintée de respect et de timidité mêlée répondit en jetant un regard furtif et enveloppant à Anne : _ vous savez...la beauté des mannequins est souvent stéréotypée...alors elle devient banale... Alors que le mélange subtil entre beauté, charme et sensualité est une alchimie rare...et... Cher monsieur, pardonnez ma franchise...mais votre épouse est l'incarnation de cette harmonie... Cette phrase fut prononcée avec pudeur, comme si Simon hésitait a faire un tel compliment... Il se tut... Georges regarda alors Anne en souriant...sans un mot, elle se donna une contenance en buvant une gorgée de son verre de vin, dans un geste gracieux... Mais Simon constata avec plaisir que ses joues s'étaient empourprées en entendant ces mots... Le silence dura...le poignet et la main d'Anne était très fins... Quelques bagues de prix ornaient ses doigts... Un fin bracelet montre ornait son poignet... Georges jugea alors que le premier acte avait produit son effet...et, pour détendre l'atmosphère qui s'était alourdie pendant ce bref moment, détourna la conversation sur ses propres affaires...jusqu'à la fin du repas... Simon vit que le maître d'hôtel veillait a ce que les verres ne soient jamais vides...(conformément aux instructions préalables de Georges..)... Durant le reste du repas, Anne parla très peu... Suivant la conversation entre son époux et Simon... Le café fut servi... C'est alors que Georges passa a l'étape suivante...fort brusquement... _ dites moi franchement cher ami, simple curiosité masculine, pardonne moi ma chérie... Durant votre carrière, combien de fois avez vous " dispose " d'un modèle répondant aux vertus dont vous pariez mon épouse tout a l'heure... ? Simon ne répondit pas immédiatement, observant a la dérobée, la réaction d'Anne... Elle avait regarde son époux d'un air surpris , vaguement teinte de reproche, puis saisit son verre a nouveau... Simon jubila intérieurement de voir la main trembler imperceptiblement, légèrement crispée sur le verre... Reprenant son air faussement timide, simon avala sa salive pour repondre dans un souffle... - une fois... 'est un privilège tres rare de " posséder " un tel modèle... Disposer...posséder... Les deux complices avaient sciemment employé ces termes ambigus... Soudain mal a l'aise, Anne s'était raidie sur la banquette, se tenant droite, fixant son mari... Etonnée du tour que prenait la conversation... Simon entendit distinctement sa respiration s'accélérer... Témoin de son trouble et de sa gene naissante... Georges avait raison, son épouse, par retenue ou en vertu d'une docilité inconsciente, ne disait rien... Même si son trouble devenait visible... Georges profita alors de la déstabilisation d'Anne pour pousser l'avantage...il posa sa main sur celle d'Anne a plat sur la table... - voyez vous, mes affaires me conduisent souvent a être loin de mon épouse.. Pourriez vous réaliser ce soir quelques cliches d'Anne... Des photos que je pourrais emporter avec moi constamment...ce serait une façon originale d'immortaliser sa beauté... Anne se raidit a ses mots...n'en croyant visiblement pas ses oreilles...Georges ajouta : - des photos décentes bien entendu, mon ange, rassure toi... Le visage d'Anne s'empourpra, honteuse que son mari ait pu penser une seconde qu'elle pourrait poser pour un autre genre de photos...puis, elle se détendit, soulagée, en définitive, qu'il ne s'agisse que de quelques photos souvenirs... Simon s'empressa alors d'accepter l'offre de Georges, remerciant par avance Anne d'être son modèle...celle-ci émit quelques protestations, murmurant : - Mais... je ne suis pas coiffée, je suis a peine maquillée... Simon la rassura, lui servant quelques compliments bien sentis, sur sa beauté naturelle si éclatante.... Georges coupa court aux arguments d'Anne, et déclara l'affaire entendue... Simon sourit a Anne et dit, d'un air faussement gêné : - Mes appareils et mes éclairages sont dans ma suite.... Georges finit son café, et se levant en souriant a son épouse : - Et bien...allons y... Cher ami... Puis hélant le maître d'hôtel : - Montez donc une bouteille de Piper Heidsieck dans la suite de monsieur, je vous prie... Anne s'efforçant de conserver un air naturel, arborait un léger sourire figé, visiblement tendue, gênée par la tournure que prenaient les événements... La main crispée sur son petit sac a main...elle marchait devant eux... Georges et Simon eurent le temps d'échanger un sourire complice....leur plan fonctionnait jusque la a merveille... Ils traversèrent le hall, se dirigeant vers les ascenseurs.... Simon eut tout le loisir de détailler le dos de son futur modèle... Une silhouette parfaite, une taille exceptionnellement fine... Des jambes superbes au galbe souligné par les hauts talons, mises en valeur par la soie qui les couvrait. Sa jupe courte avait la particularité d'être plissée dans sa partie basse, tandis que le haut moulait magnifiquement ses fesses... Des fesses a la rondeur parfaite, a la cambrure très prononcée... Accentuant encore la finesse de la taille... Son œil attentif distingua, a peine perceptible, la marque d'un slip brésilien dont l'élastique formait un triangle barrant en diagonale, le quart supérieur des fesses. Il déduit de la forme de ce triangle que les côtés de ce slip devaient être très échancrés sur les hanches... Il constata en faisant remonter son regard...que sous le chemisier de satin blanc, juste entre les omoplates, un léger bourrelet trahissait l'attache d'un soutien gorge... Il nota mentalement ces deux détails, pour les utiliser au cours de la soirée... Ils prirent place tous les trois dans l'ascenseur... Qui monta sans qu'ils n'échangent une parole... Georges, faussement discret, passa sa main dans le dos de son épouse...et frôla ses fesses un instant...comme pour lui signifier le plaisir qu il prenait par avance a cette séance de photos... Accentuant ainsi le trouble et le désarroi d'Anne qui tenta, en essayant de ne pas attirer l'attention de Simon, de se dérober a la caresse insistante de son mari...ses joues toujours empourprées, tandis que sa respiration s'accélérait sous une angoisse qu'elle s'efforçait de juguler...se répétant sans doute intérieurement que ce n'étaient que quelques photos souvenir... L'ascenseur s arrêta a l'étage de Simon...le portier leur ouvrit la porte et s'effaça...ils entrèrent dans le salon de la suite...meublé d'une table basse, d'un canapé, et de profonds fauteuils. Derrière le canapé, une arcade donnait sur la chambre a coucher. Dans cette dernière, une porte était entrouverte sur la salle de bains... Georges s'assit dans un des deux fauteuils.... Simon, debout, prenait l'air emprunté de celui qui, comme Anne, est un peu dépassé par les événements... D'un geste, il invita Anne a s'asseoir, lui indiquant d'une main le profond canapé.... Anne s'assit timidement, les fesses tout au bord de l'assise... Les pieds joints. le canapé assez bas donnait une vue charmante sur ses cuisses grâce à sa jupe légèrement remontée par sa position.... Elle était visiblement encore très tendue... Simon prit alors la parole : - Vous savez, Anne...prendre des photos de quelqu'un...C'est un peu fixer sur la pellicule des instants de sa vie...rien de plus.... Soyez naturelle... Oubliez l'appareil...vous allez bouger comme si vous étiez seule... Tout en lui parlant doucement, Simon installait autour de la pièce trois projecteurs parapluie...et des réflecteurs de lumière, un peu partout dans la pièce... L'installation terminée, Simon prit en main une cellule photoélectrique, pour régler la lumière... Il sourit a Anne... - Placez vous au centre des projecteurs, je vous prie... Que je mesure la réflexion de la lumière sur vos vêtements...les ombres et les contrastes, quand ils ne sont pas maîtrisés...retirent toute âme à un cliche... Anne se leva lentement, et vint se placer a l'endroit indique par Simon...empruntée, elle se tenait droite, les pieds joints et les bras ballants, le long du corps.... Simon promena la cellule le long du corps de la jeune femme... Constatant, avec un double plaisir, que la broche qui fermait le chemisier produisait des reflets très importants et que, d'autre part, a l'endroit ou le satin du chemisier était en contact avec la dentelle du soutien gorge, on voyait la trace inégale du sous- vêtement... Tout cela lui permettrait de passer a l'étape suivante... Il passa ensuite la cellule dans son dos...notant a nouveau la trace de l attache du soutien gorge et la trace infime du slip...et déclara : - Je suis prêt.... si voulez bien, nous allons commencer... Restez a votre place...et pivotez sur vous même, comme si vous cherchiez quelque chose autour de vous... Anne commença, timidement... - Vous ne trouvez pas ce que vous cherchez...accélérez vos mouvements...faites bouger vos cheveux...retournez vous brusquement vers l'objectif... L'appareil crépitait...Anne se détendait peu a peu... - A présent, allez vers la fenêtre, là bas... Et retournez vous vers moi, en passant la tète par dessus votre épaule... doucement... Anne souriait, parfaitement détendue a nouveau, le jeu l'amusait visiblement et il la sentait soulagée.. Alors qu'elle marchait en lui tournant le dos, vers la fenêtre... Sa jupe très souple voletant autour de ses cuisses... Il s arrêta brusquement de mitrailler...et dit...après un long silence... : - Ne bougez plus Anne, s'il vous plaît.... Anne se figea, en leur tournant le dos... - Regardez, Georges...il lui tendit l'appareil... Apres avoir regardé par le viseur, Georges s'exclama, feignant la surprise... - Ca alors, c est incroyable... Comment est ce possible...on ne voit que ca... Anne n osait bouger, tournant désespérément la tête dans leur direction, les sourcils fronces... Cherchant de quoi ils peuvent bien parler...instinctivement, elle passe la main sur l'arrière de la jupe...ne constatant rien d anormal... Simon répondît a Georges : - C'est un phénomène de contraste actif, lié a la combinaison des lumières.. la superposition des tissus et l'impression de la pellicule...les filtres donnent souvent ce résultat...il ajouta laconiquement... C'est pour ca que les mannequins n'en portent jamais... Anne se raidit a ses mots...et d une voix mal assurée dit : - De quoi voulez vous parler, Simon.... ?... Sa voix trahissait une inquiétude grandissante... Simon prit un air embarrassé... - Et bien...ce sont vos dessous, Anne...sur les clichés, on voit nettement votre slip...et l'attache de votre soutien gorge... Le résultat est esthétiquement déplorable... A ces mots les joues d Anne s empourprèrent.... Elle plaqua instinctivement ses mains sur ses fesses pour se cacher...comme si elle était nue... Georges vola a son secours... : - Vous ne pouvez pas régler les lumières différemment... ? Anne avait les yeux rivés sur Simon... bien sur c'est la solution...régler les lumières... Simon hocha pauvrement la tête... - les lumières n'y sont pour rien...c est l'ensemble...si je baisse les lumières.. les photos vont être sous exposées...non, vraiment...je suis désolé... Mais il vaut mieux arrêter... Anne soupira de soulagement...enfin cette soirée étrange allait se terminer...elle allait se retrouver seule avec son époux...comme prévu... Georges marqua un long silence, paraissant réfléchir... - Et si tu allais dans la salle de bains retirer ton slip et ton soutien- gorge...après tout, tu ne seras pas nue... Il sourit a Simon...elle pourra garder sa jupe et son chemisier tout de même...hein ?... Il éclata de rire... Anne ne répondit rien...les regardant sourire.. .rassérénée par le sourire gêné et retenu de Simon, qu'elle pensait aussi gêné qu'elle... Georges repartit : - Anne peut utiliser votre salle de bains...Simon ? - Oui, bien sur... Répondit Simon d'une voix enrouée, comme s'il était surpris de la réaction de Georges... - Mon ange....nous t attendons...dit il en lui indiquant d un geste la porte entrouverte... Anne soupira longuement...puis d un pas assez raide, se dirigea vers la salle de bains...refermant la porte sur elle... Les deux hommes échangèrent en silence un long regard de satisfaction...tout se déroulait a merveille... Après quelques minutes, Anne revint dans le salon....le feu aux joues.... Simon remarqua tout de suite un premier changement physique...le buste d'Anne, tout a l'heure figé, paraissait maintenant plus élastique, marqué d imperceptibles mouvements empreints d une exquise souplesse... Il se réjouit intérieurement en voyant Anne enfouir rapidement dans son sac a main., une boule de satin et dentelles gris perle... " la voilà donc fesses et seins nus... " pensa t il... Anne se rassit, en prenant garde de retenir sa jupe sous elle...se sentant désormais plus...accessible...Elle rougit encore plus d avoir pensé a ce mot... Simon reprit gêné... - Anne ... Je suis navré, mais j ai oublié tout a l'heure... Votre broche...il faut l'ôter également.... En rentrant bien les deux pans de votre chemisier dans votre ceinture...vous ne dévoilerez rien... Anne se retourna vers son mari.... Cherchant de l'aide...et n'en trouvant pas...se résigna...ses mains tremblantes défaisant la broche... Libérés de l'attache... les deux pans s entrebâillèrent...offrant une vue assez large sur l intérieur du galbe des seins... Simon constata qu ils paraissaient intégralement bronzés et présentaient un arrondi conséquent sur le dessous... Visiblement, en forme de poires... La tenue naturelle et la fermeté des globes le ravit... Quand le garçon d'étage entra.... Anne était en train de rajuster les pans du chemisier dans sa ceinture...impuissante a masquer le décolleté qui maintenant allait jusqu'à son nombril...laissant au niveau de l'entre seins un espace de plusieurs centimètres qui attira l'œil du garçon... Il se reprit, et l'air dégagé posa la bouteille de champagne sur la table basse... Anne se mordit les lèvres...imaginant sans peine ce que pensait le garçon... Une bourgeoise perverse s offrant a deux hommes...elle réprima un frisson... Pourquoi ne partait elle pas.. ? Elle était incapable de réagir... Le garçon ressortit sans un mot, mais non sans s offrir un regard sur le buste largement décolleté et sur les cuisses découvertes jusqu'à la délimitation plus sombre et si suggestive... Simon se leva et s avança vers Anne pour lui donner une coupe de champagne... Cela lui ferait du bien.....pensa t elle... Mais, (malencontreusement ?) Alors qu'elle allait se saisir du verre...Simon trébucha...et le contenu de la coupe se renversa en grande partie sur son chemisier... Le satin trempé collant instantanément à sa peau...sur le sein gauche...elle poussa un petit cri.... Simon se confondit en excuses...et se mit a genoux a cote d'Anne...son mouchoir a la main...le liquide glacé collait littéralement le satin sur le sein...en épousant les moindres contours...le dévoilant totalement par transparence... Adorable poire au galbe assez lourd, l'aréole moyenne plantée assez haut....Le téton bien ourlé... Anne se mordit les lèvres presque jusqu'au sang, tant la situation lui échappait... Elle ne fit pas un geste quand Simon commença a tamponner doucement le sein avec son mouchoir... L'essuyant... Le sein jouait souplement sous l'action du mouchoir... Simon s'attarda pour tamponner.. ou plutôt effleurer le mamelon... Anne fut parcourue d'un frisson...on voyait son buste se soulever sous l'action de sa respiration de plus en plus rapide...elle jetait des regards désespérés a Georges qui restait impassible...elle ne se rendit même pas compte que, dans son désarroi, elle avait légèrement écarté les cuisses, alors que Simon était a genoux devant elle... Constatant que le téton s érigeait involontairement sous les frôlements de son mouchoir...Simon dirigea son regard entre les cuisses qui se relâchaient...se délectant du galbe parfait des jambes, ornées de bas fins en soie gris perle, tenus par des jarretelles en satin assorti.. Tout en haut, entre les cuisses qui se séparaient en une fossette, Simon vit le sexe d'Anne...aux lèvres soigneusement épilées sur toute leur longueur, roses...serrées... Surmontées d un petit triangle de poils courts impeccablement taillé... Anne remarqua le regard...et se ressaisissant... honteuse... humiliée d être ainsi dévoilée devant un inconnu, resserra les genoux...regardant son mari avec une moue désespérée...elle ne vit pas dans les mains de Georges, un large bandeau de velours noir.... Il se leva...et passa derrière le canapé...en silence...elle le suivit un instant du regard... Puis baissa a nouveau ses yeux sur son sein...ou l'action de Simon avait un peu asséché le tissu...laissant néanmoins parfaitement visible son téton durci...sa honte était telle qu elle ne réagit même pas a cette vision... Pas plus qu elle ne réagit quand Georges, placé derrière elle, glissa sur ses yeux le bandeau de velours noir.. qu'il noua sur sa nuque... A peine eut elle un sursaut... Elle resta là...assise sur le canapé...les yeux bandés...elle sentit que son mari lui prenait doucement les poignets, les tirait doucement dans son dos...le contact d un lien soyeux qui les attachait ensemble dans son dos la fit trembler de tout son être. . Elle murmura.. : - mais...Georges....qu'est ce que tu fais.... ? Elle n'osait comprendre... Ses poignets liés dans son dos tiraient ses épaules en arrière, projetant son buste vers l'avant...faisant glisser vers les cotés les pans du chemisier...dévoilant à présent toute la partie intérieure des seins, masquant encore juste les aréoles... Elle creusait son ventre instinctivement, sentant sa peau nue au contact de l'air tiède de la pièce...crispée...anxieuse....complètement perdue...les yeux voilés par son bandeau.... Elle sentit que des mains la prenaient doucement aux épaules...pour la faire lever du canapé...elle se releva mécaniquement... Aveuglée par le bandeau, elle perdit un instant l'équilibre... Retenue par une main dans son dos... Simon la contempla alors... En souriant a Georges... Anne était devant eux...debout...les pieds presque joints...sur ses hauts escarpins à brides qui cambraient bien ses pieds et affinaient ses jambes, soulignant leur galbe parfait...avec sa jupe courte, plissée, plaquée sur ses fesses...qu'aucune marque de dessous ne barrait plus...son chemisier largement ouvert jusqu'au ventre...les mains liées au dos...les yeux bandés...elle restait immobile...secouée de temps a autre de frissons, la respiration saccadée... Anxieuse... Redoutant la suite... Son esprit embrouillé cherchait désespérément à comprendre...une évidence qui lui vint subitement a l'esprit...parfaitement claire : Les lectures de Georges... Ces revues d'annonces qu elle avait découvert un jour... Il avait prétendu les avoir trouvées dans l'avion...il les avait acheté.... Et ce soir...il avait décidé de l'offrir a ce pseudo- photographe...et... Elle restait la...immobile...comme hypnotisée... horrifiée par cet acte si pervers ..et en même temps inexplicablement résignée à le subir... par amour pour Georges... son cœur battait la chamade, alors qu'elle arrivait a cette conclusion... Simon approcha son fauteuil...de façon a être assis juste derrière Anne Georges, lui, s'était confortablement calé dans l'autre fauteuil pour ne rien perdre du spectacle qui allait suivre.... Simon posa doucement sa main sur la croupe d'Anne qu'il caressa doucement, sur toute la surface des globes fessiers, d'un geste évaluateur, lissant du même coup, le fin tissu, de façon a bien le tendre sur les fesses de la jeune femme. Anne se raidit brusquement a ce contact. Son corps se tendit et elle fut agitée de tremblements convulsifs qui s'espacèrent à mesure que la caresse durait... Comme si elle s'habituait au contact de cette main sur son corps...comme si elle l'acceptait progressivement... La caresse dura plusieurs minutes...lente, frôlante... Il prononça les premières paroles depuis que la soirée avait bascule : - la chute de reins est superbe, cher ami....murmura t il...et très prometteuse... Dit il en faisant glisser un doigt du bas des reins, tout le long de la raie... Anne émit un petit halètement...de honte et d angoisse... La main de Simon quitta alors les fesses. Anne sentit le contact des doigts a nouveau sur elle, mais cette fois, sur ses bas, très exactement a l'intérieur de son mollet gauche...juste sous le genou...la main enserra le mollet.. Et doucement mais fermement, le souleva légèrement, obligeant Anne a porter tout le poids de son corps sur l'autre jambe. Alors, la main força le genou a s'écarter de l'autre jambe. Le mouvement lui fit reposer le pied à une cinquantaine de centimètres de l'autre...elle était a présent toujours jambes tendues, mais écartées...elle se mordit les lèvres, honteuse de sa docilité, mais aussi de sa position qui, elle le devinait, devait la rendre particulièrement indécente : le buste projeté en avant par la position de ses bras, et la cambrure de ses reins accentuée par ses hauts talons et par l'écartement de ses jambes... Elle réprima un sanglot quand la main posée sur l'intérieur de son genou remonta, effleurant l'intérieur de la cuisse... Quand la main se posa sur la peau nue et dorée au dessus de la litière des bas, elle devina que le poignet devait commencer a relever l'arrière de sa jupe...et à dévoiler plus largement l'arrière de ses cuisses. La main de Simon avait dépassé la lisière du bas...ses doigts frôlaient la peau nue ..une peau très douce, satinée... son geste faisait progressivement remonter la jupe, dévoilant successivement la lisière des bas, et la peau nue, ambrée au dessus... Sa main remonta jusqu'à la jointure de l'aine, tendue par la position. Il effleura le muscle tendu...les tremblements du corps d'Anne étaient visibles a l'œil nu. Son geste avait à présent largement découvert l'arrière des cuisses de la jeune femme... Les jarretelles ornaient délicatement la peau. Les cuisses qui, tout en haut se séparaient en une adorable fossette...la jupe était remontée jusqu'à la limite des fesses... Un pli superbe séparait le haut de la cuisse et le bas des fesses, les délimitant dans une courbe harmonieuse... La cambrure d'Anne était si prononcée qu'entre ses cuisses, les lèvres du sexe, closes, finement ciselées, d'un rose foncé, complètement lisses, étaient parfaitement visibles et accessibles grâce a sa position et au creux naturel qui séparait le haut des cuisses... Ses doigts s'approchèrent au ras du sexe. Il sentit tout le corps d'Anne se tendre... Et il l'entendit lâcher un sanglot.... En souriant, il retira lentement sa main... En disant d'une voix basse mais parfaitement audible... - Ce sexe s'ouvrira...tôt ou tard... Mais l'ouvrir maintenant par une caresse serait trop facile... Il y a d'autres moyens... Anne entendit ces mots dans un quasi brouillard, tant ses sentiments étaient paradoxaux... Humiliée, malheureuse...terriblement tendue...elle restait pourtant la...alors que tout lui disait qu'elle pouvait mettre fin a ce calvaire.. En se rebellant...mais elle restait la immobile...les larmes lui venant aux yeux...parcourue de frissons d'angoisse ...tétanisée... Simon se leva alors et vint se placer face a Anne... La jeune femme devina sa présence... Les narines pincées, les joues écarlates. Elle respirait fort, la bouche entrouverte, dévoilant de petites dents blanches entre ses lèvres fines peintes d'un rose discret. Son buste encore protégé jusqu'aux mamelons par les pans du chemisier se soulevait rapidement. Simon tira doucement sur les pans du chemisier coincés dans la ceinture de la jupe et fit glisser l'étoffe sur les cotés de façon a dégager les seins.. Anne fit une moue désespérée en sentant son buste mis a nu.. Elle tournait la tête de droite à gauche, aveugle, cherchant une aide de Georges qui restait silencieux...elle hoquetait nerveusement, reniflant, anéantie... Simon s'arrêta un instant pour contempler le buste qui s'offrait a ses yeux. Les épaules tirées en arrière faisaient saillir les seins... Les épaules très fines, le buste étroit et mince conférait aux globes un volume appréciable. Plantes très hauts, les seins étaient très écartés, les aréoles roses pâles pas plus larges qu'une pièce de deux francs. Les tétons érigés par l'émotion pointaient vers le ciel. Les seins étaient intégralement bronzés, présentant dans leur partie inférieure un arrondi harmonieux, qui dénotait la lourdeur mais aussi la tonicité des seins. Simon dit a voix haute : - Seins harmonieux, très beau volume... Quelle taille de bonnets fait t elle ? - 85c... Elle porte toujours quelque chose pour les soutenir, Anne est très sensible des seins, vous verrez... Répondit Georges. Anne se figea en entendant Georges parler ainsi d'elle, d'une manière aussi impersonnelle...elle sentit un frisson la parcourir... Toutes ces allusions parfois choquantes quand ils faisaient l'amour... Son ton sec alors, sa brutalité pour la prendre parfois... Elle comprenait avec horreur que Georges voulait depuis longtemps la voir ainsi, humiliée, traitée en objet... Et suprême honte par un inconnu.. Des larmes coulaient sur ses joues...elle murmura dans un souffle : - Georges....je t'aime.... Le silence lui répondit... Elle sentit une main, qu'elle devina être celle de Georges, lui caresser doucement la joue... Simon reprit : - bien, passons à coté a présent... Nous allons voir jusqu'où va l'amour de votre épouse pour vous...mon cher Georges... Il la prit doucement par le bras...et la guida doucement vers la chambre a coucher... Aveugle, les jambes chancelantes, Anne avait du mal a marcher tant ses jambes tremblaient... Simon la plaça face au lit a baldaquin, au pied de celui ci... Anne sanglotait. Elle sentit qu'on défaisait le lien qui entravait ses poignets. Résignée, elle ne savait quoi faire... Ses bras le long du corps.. Elle attendait... Simon saisit délicatement le col du chemisier et le fit glisser, dévoilant l'arrondi des épaules, le tissu glissa le long des bras et Simon vit avec plaisir qu'Anne ne faisait rien pour le retenir... Mieux d'un mouvement a peine perceptible, elle l'aida a dégager les manches de ses bras...le chemisier tomba au sol... Anne se redressa en respirant très fort... Sentant son corps entièrement dévoilé jusqu'à la ceinture... Elle ne fit rien pour empêcher le lien de se nouer a nouveau, mais autour d un seul poignet cette fois... Un autre lien serra ensuite son autre main... Simon prit l'extrémité libre du lien de la main gauche... Et le tira vers le coin supérieur du baldaquin... Ou il le fixa solidement ...puis, il fit la même chose avec l'autre main.. Anne était à présent debout devant le lit... Les bras levés.. écartés, mais pas écartelés...elle posa ses genoux sur le bord du lit... Simon lui dit : - Restez debout année, je vous prie, vous poserez vos genoux sur le lit quand on vous l'ordonnera... Anne se releva... Sanglotant toujours... Simon derrière elle la contemplait... Les bras liés a mi hauteur, écartés, torse nu, le dos mince et droit, à la peau ambrée et fine... Les omoplates saillantes...la ceinture de la jupe faisant ressortir l'extrême finesse de la taille et la cambrure des reins... La position des bras laissait apparaître de chaque coté du torse l'arrondi des seins.... Jambes tendues sur ses hauts talons, Anne incarnait vraiment la féminité offerte...la jupe légère voletant sur l'arrière des cuisses... Anne ne vit pas Simon sortir de l'armoire une barre métallique d'une cinquantaine de centimètres, munie a chaque extrémité d'une bride en cuir... Elle entendit juste Simon dire a Georges : - Je préfère lui maintenir les jambes a l'écartement voulu avec ca... Pour éviter qu'elle ne se dérobe a certaines manipulations en serrant les cuisses Elle entendit avec horreur Georges acquiescer. Elle sentit qu'on ajustait une bride a sa cheville gauche, puis qu'on la forçait à écarter l'autre pied de façon à fixer l'autre boucle ... Elle tremblait de plus belle, sanglotant, les larmes coulant sur ses joues... Entravée ainsi, torse nu, le ventre et les fesses nues sous sa jupe...elle ne pouvait plus qu'attendre...attendre et subir le bon vouloir de Simon... Pendant une dizaine de minutes, on la laissa ainsi... Elle sentit à l'odeur, qu'ils fumaient une cigarette...en parlant d'elle, non pas comme d'une personne, mais comme d'un objet...son cœur se serra en entendant Georges dévoiler à Simon certains secrets de leur vie intime...d'une manière très crue... Notamment, Georges décrit dans le détail a Simon ses talents de fellatrice, elle se mordit les lèvres en entendant les détails donne par son mari... - Anne s'applique toujours beaucoup a bien couvrir la totalité de la verge de salive...elle est très douce... Et j'aime particulièrement qu'elle lève les yeux vers moi lorsqu'elle m'a en bouche...je sais qu'elle n'aime pas beaucoup ca, mais j'aime quand je jouis, ne pas éjaculer entièrement dans sa gorge, et finir ma jouissance sur ses lèvres et ses joues...voir son visage ainsi maculé me ravit toujours... Anne était anéantie...ses jambes tendues et écartées s'engourdissaient...mais elle ne sentait rien... Simon s'assit sur le lit...face à Anne... Le buste nu et offert par les bras écartés était là, à portée de main... Il posa un doigt à l'entre seins... Anne sursauta au contact et se raidit... Le doigt se déplaça. et suivi la courbe d'un sein...passant sous le globe...il soupesa un instant le sein le faisant rebondir sur ses doigts.. - fermeté et tenue impeccable, d'une souplesse admirable... La peau est très douce...voyons l'élasticité des globes... Il saisit un téton entre le pouce et l'index...Anne poussa un gémissement de honte...il souleva alors le globe par le téton...le plus haut possible...arrachant un petit cri a la jeune femme... - bien...les seins ont une bonne élasticité.. Commenta Simon en faisant rouler le téton entre ses doigts, le sentant avec plaisir durcir sous la manipulation...tandis que le buste tremblait... Il vit Anne se mordre les lèvres...les larmes avaient cessé de couler.. - les tétons réagissent parfaitement aux stimulations...malgré la tension...elle est réceptive...c est bien.. voyons la texture des globes... Il prit a pleine main un sein .et le malaxa...cherchant la glande sous les doigts...Anne poussa un cri de douleur... Georges l'encouragea alors d'une tendre caresse sur la joue... - texture très serrée, très dense... On dirait des seins de jeune fille... Simon continua quelques minutes à manipuler les seins, alternant douceur et dureté...Anne gémissait et secouait la tête en tous sens en signe de refus... Mais sans chercher a se dérober... Sous ce traitement, les seins avaient gonflé légèrement...et paraissaient plus volumineux...les mamelons gonflés, les tétons bien érigés... - Elle réagit parfaitement...malgré elle, son corps s'échauffe... Anne entendit ces mots...humiliée de ne pouvoir se maîtriser... Simon se leva et repassa derrière elle... 'une main il saisit le bas de la jupe et le releva...le coinçant dans la ceinture de la jupe... de façon à bien dégager les fesses... Des fesses parmi les plus belles qu'il eut vu... D'une rondeur parfaite, cambrées, séparées par une raie régulière et serrée... Bronzées, à l'exception d'un adorable triangle plus clair, minuscule...au bas des reins, juste au dessus du début de la raie... Vestige d'un string de vacances... Les jarretelles grises ornant les cotes des fesses... Les bas tendus sur le haut des cuisses écartées... et... Entre elles...les lèvres du sexe...le bas du pubis bombé totalement lisse là ou la peau est la plus claire... Simon laissa sa main parcourir les rondeurs offertes, ses doigts palpant la texture délicate de la peau.. Il s'amusa a parcourir la raie, sans s'enfoncer dans le sillon... Anne se tendit... Il posa alors ses mains sur les cotés des fesses et exerça une pression qui fit s'écarter les globes... Anne sanglotait...le sillon ouvert offrait une peau plus claire et découvrait l'œillet, légèrement plissé, de couleur nettement plus sombre... Il fit glisser son pouce vers le sillon...et palpa le contour de l'anneau... Pour en tester la souplesse...le muscle délicat offrait, une souplesse parfaite, Malgré les efforts désespérés d'Anne pour le contracter... Sous la pression du pouce, l'œillet s'entrouvrait légèrement... - quelle élasticité étonnante... ! Est-ce un don de la nature ou le fruit d'un usage intensif de cet orifice.. ?Demanda Simon à Georges. - quand j'ai connu Anne, elle avait 20 ans... La premier fois ou j'ai pris ses reins, j'ai été étonné de la facilité avec laquelle j'ai force son anus... Elle était pourtant vierge de ce coté là....Enfin, c'est ce qu'elle m'a toujours dit... Cela dit, même si l'anneau est souple, la gaine anale est très serrée, très agréable...vous verrez... Anne se tendit a ces derniers mots...comme sous l'effet d'un fouet...Georges ne voulait pas uniquement l'exhiber a cet homme... Elle devrait aussi le recevoir en elle...elle s'affaissa légèrement dans ses liens... Abattue... Pendant que Georges parlait, Simon appuyait sur l'intérieur de la cuisse, au ras du sexe.. en maintenant sa pression... Anne sentait son sexe palpiter et, humiliée, elle se rendait compte que, peu a peu, ses lèvres s'entrouvraient.... Le doigt de Simon effleurait le renflement de la lèvre, totalement lisse...frôlant le bord délicatement crénelé, légèrement plus sombre...l'attouchement faisait trembler les jambes d'Anne... - l'épilation décuple les sensations. La peau est beaucoup plus sensible...regardez...le sexe s'ouvre, alors que je ne l'ai pas encore directement sollicité...voyons la lubrification... Simon passa rapidement son doigt entre les lèvres entrouvertes et le tendit à Georges... - voyez... Elle est déjà parfaitement lubrifiée entre les grandes lèvres...le vagin doit être prêt... Il essuya son doigt négligemment sur un des globes fessiers...puis se dirigea vers sa valise... Anne entendit qu'il s'affairait, mais ne pouvait voir que Simon était occupe à fixer sur un tabouret, un support métallique sur lequel il fixait un gode fin mais très long... Il plaça le tabouret ainsi transformé juste derrière les genoux de la jeune femme, le gode juste sous Anne....et appuyant sur son épaule lui dit : - fléchissez les genoux, je vous prie...doucement... Elle obéit...les jambes flageolantes, descendant doucement... Simon ajusta le gland du gode juste a la verticale des lèvres du sexe...il tira a nouveau sur la peau des cuisses, de façon à ce que les lèvres du sexe s'ouvrent bien... Anne stoppa brusquement son mouvement en sentant cet objet froid toucher l'intérieur de ses lèvres...Simon accentua sa pression sur son épaule...le gland de latex disparut entre les grandes lèvres... Anne haletait.. en sanglotant... elle sentait l'objet qui écartait ses petites lèvres et s'insinuait dans son intimité... Simon ne relâchait pas sa pression.... Le gode glissait lentement...disparaissant progressivement... Anne le sentait qui repoussait les parois de son vagin, s'enfonçant inexorablement... - ce premier instrument est fait pour préparer l'orifice, pour bien l'ouvrir et sa longueur permet de mesurer la profondeur exacte du vagin... Le sexe de plastique s'enfonçait toujours sous la pression ferme de la main de Simon sur l'épaule d'Anne...qui soudain se bloqua et poussa un cri... ah...voila...le gland vient de buter au fond du vagin... dit Simon en se penchant pour voir une graduation sur l'arrière du gode... Mmh...27 centimètres... le ventre de votre femme doit permettre des pénétrations très profondes, et surtout, avec une telle profondeur...on peut effectuer des va et vient de grande amplitude et très violents... Elle doit arriver rapidement au bord de la jouissance ... - ça oui... Anne jouit très rapidement...et très longtemps... - souvent en levrette, j'imagine... ajouta Simon... Avec une telle cambrure et une taille si fine.. Elle est idéalement faite pour cette position...facile à maintenir...soit en tenant les cotés des fesses...soit en enserrant sa taille entre les mains... Ainsi, la cambrure offre le meilleur angle possible pour une pénétration maximum... - c'est vrai...elle se tient les mains a la tête du lit quand je la prends ainsi... - vous devriez au contraire lui faire poser la tête contre l'oreiller et ne garder que les fesses relevées... L'angle serait encore meilleur....vous verrez...je vous montrerais tout a l'heure... Anne ne réagit même plus a cette discussion technique, dans laquelle elle n'était plus qu'un ventre et des fesses...elle était presque assise sur le tabouret, sentant le gode en elle... l'ouvrir lentement...le gland butant contre le fond de son intimité... Simon posa sa main sur le bas du dos de la jeune femme... - relevez vous, Anne... Elle s'empressa de se relever...le gode ressortit entièrement...accompagné d'un bruit de succion dont l'obscénité la fît frémir. Elle ne pouvait le voir, mais devinait qu'il devait être luisant de sa cyprine... Simon passa son doigt le long de la verge artificielle... - sécrétions abondantes... l'excitation produit son effet...le corps obéit à l'esprit... Anne refuse de l'admettre encore, mais elle est excitée par ce que nous lui faisons... Simon dévissa le gode du support...et d'une main écarta les fesses...il posa le gland de latex sur l'œillet, et appuya doucement... Anne réprima un hoquet.. L'anneau joua parfaitement...le gland franchit sans peine le sphincter anal.... et s'enfonça dans la gaine... Anne haletait, humiliée et honteuse de la facilité avec laquelle ses reins s'ouvraient... - incroyable... ! Il est entré quasiment sans effort...regardez... Il coulisse sans problème... Elle a des reins parfaits... Et se taisant, il montra a Georges les mouvements imperceptibles du bassin de la jeune femme... - je crois qu'Anne apprécie inconsciemment... Elle se mordit les lèvres...sentant confusément que Simon avait raison... - il ne faudrait pas que le plaisir la gagne trop vite...qu'en pensez vous ? - ce serait trop dommage...la nuit ne fait que commencer...répondit Georges.... Repassant derrière Anne, Simon écarta doucement les fesses, dégageant l'œillet dans lequel était enfonce l'épais sexe de latex. Il le retira lentement et constata avec plaisir que lorsque l'anus fut libéré, l'anneau resta quelques secondes ouvert, béant...avant de se resserrer. Lentement, restant légèrement entrouvert... - elle est prête à présent, cher ami... Simon prit alors un mouchoir de coton très doux, et agenouillé derrière Anne, il entreprit d'essuyer le contour de l'orifice anal distendu. Puis, il nettoya le sexe duquel la cyprine s'écoulait... Il essuya les grandes lèvres, puis l'intérieur de celles ci....doucement, en tenant la lèvre entre deux doigts... Procédant méticuleusement, comme on nettoie un bibelot... Puis, il essuya le capuchon du clitoris...et les petites lèvres. Il dit a Geoges: - Oter l'excédent de sécrétions est indispensable...il faut essuyer de façon à ne laisser sur les muqueuses que la lubrification nécessaire aux différentes pénétrations auxquelles Anne va être soumise...les sécrétions trop abondantes nuiraient aux sensations de celui qui la prendra... Ses orifices présentent une souplesse naturelle suffisante... Quant a la gorge...c'est plus la faculté d'Anne a laisser le membre s'enfoncer suffisamment loin qui sera déterminante... Anne sentait Simon manipuler délicatement son intimité, avec des gestes précis... Elle entendait ses explications techniques, machinalement comme s'il ne s'agissait pas d'elle dont il parlait... Elle dont on parlait de se servir... Elle qui allait être un objet de plaisir... Elle dont, contre sa volonté, le ventre et les reins étaient totalement ouverts, involontairement excités par ce qu'elle venait de subir.... Elle entendit comme dans un brouillard Simon lui dire d'une voix douce : - Anne.. ? Je vais vous détacher... ? Nous allons nous rendre chez un ami à moi qui demeure à quelques kilomètres de Cannes... Acceptez vous par avance de ne pas vous opposer de quelque façon que ce soit aux différents usages qui seront de votre corps et de vos orifices... ? En ce qui concerne l'ami chez qui nous allons... Pour pénétrer votre ventre et vos reins, nous utiliserons des préservatifs... Il n'y a que votre bouche que nous utiliserons à nu... Pour mieux jouir de vos qualités buccales, et pour que vous receviez notre sperme dans la gorge et sur votre corps... Donc, Anne... Acceptez vous par avance de prêter docilement votre corps à toutes nos envies ? Anne resta silencieuse un long moment, puis elle murmura dans un souffle qui scellait sa soumission... : -...Oui... Elle ajouta dans un souffle.... Georges c'est pour toi... Simon sourit à Georges. La première partie du plan avait marché à merveille... Anne fût autorisée à se rajuster. Simon lui ôta même le bandeau qui lui couvrait les yeux. Anne fit la grimace en retrouvant la lumière crue après un si long moment passé dans l'obscurité... Simon observa son visage. N'osant regarder en face ni Simon ni son mari, son regard restait le plus souvent baissé... Il lui tendit son sac à main.. - Allez remettre un peu d'ordre dans votre maquillage... dit il en souriant au spectacle du Rimmel délavé qui avait coulé sur ses joues. Et soulignez mieux votre bouche... que vos lèvres ressortent mieux...mais sans excès... vous n'êtes pas une prostituée... Les yeux baissés, Anne allait se saisir du sac quand Simon aperçut à l'intérieur un morceau de satin gris perle... Il arrêta son geste et sortit lentement du sac le soutien gorge et le slip que la jeune femme portait au début de la soirée... Jetant les délicats dessous sur le lit, il tendit à nouveau le sac à Anne. Ni slip, ni soutien gorge... vous serez beaucoup plus excitante ainsi... Et plus accessible aussi, si on veut utiliser rapidement votre ventre ou vos reins... ou si on veut caresser vos seins... Sans un mot, Anne disparût dans la salle de bains. Quand elle ressortit, de longues minutes plus tard, sa tenue, toujours très sexy, était redevenue plus décente. Et ses yeux, à nouveau maquillés avec soin, brillaient d'un éclat turquoise encore plus clair qu'au début de la soirée... comme si les larmes les avaient délavés. Ces larmes qui lui avaient légèrement gonflé et cerné les yeux, au lieu de l'enlaidir, lui conféraient un charme supplémentaire, en lui donnant un côté plus vulnérable... Malgré sa grâce naturelle, nul ne pourrait ignorer en la voyant qu'elle était très tendue et très angoissée... Mais comme elle ne serait vue en public que durant la traversée du hall du palace qu'ils allaient quitter, personne ne s'en alarmerait... Simon et Georges avaient convenu durant son absence, que dès qu'elle serait installée à l'arrière de la voiture, ils lui banderaient à nouveau les yeux... de façon à ce qu'elle ignore où on la conduisait et à qui on allait l'offrir... 
|