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Mais, trois ans après, d'un commun accord, nous avons divorcé. A 26 ans, j'étais de nouveau célibataire. Mais pas sans amour, car je me laissais charger à volonté. Pendant près de deux ans j'ai fait l'amour d'une chambre à l'autre sans jamais me lasser. Puis, j'ai connu Bertrand, un garçon de 28 ans comme moi, très passionné et amoureux qui me baise comme j'aime. Avec lui, je fais tout ce qui est permis. Il me baise, me suce, m'encule, urine quelquefois sur moi. Mais tout se fait avec amour, sans une once de bestialité. Ce qui m’a fait apprécier et adorer Bertrand, c'est le culte de la bite, le culte de la fellation. Bien sûr, j'ai de nombreux amants mais en aucun cas je ne les laisse jouir en moi. Je réserve ma chatte à Bertrand. II sait si bien la faire jouir. Quand j'ai une relation amoureuse avec un inconnu, je le laisse me caresser, me masturber, me sucer, mais ils n'éjacule pas en moi. Quand je me fais charger, j'aime que le type soit amoureux, pas qu'il veuille tirer un coup. Suivant les cas, je l'emmène chez moi ou on va chez lui, sinon on va à l'hôtel c'est ce que je préfère. C'est plus excitant. II y a une semaine, un type m'a draguée à Carrefour. Voyant que j'étais consentante, il me demande si on va chez moi. Je lui dis que ce n'est pas possible, et j'ajoute : - «Allons cher vous». Il ne pouvait pas à cause de sa femme, alors il m' a emmenée à l' hôtel. Bel hôtel, belle chambre, beau lit avec de jolis draps blancs tout frais tout propres qui donnent envie de faire l'amour. L'homme m'a longuement embrassée et caressée par-dessus mes vêtements. Sa main se glissait sous ma jupe et venait caresser ma chatte pardessus ma petite culotte très mouillée. Il a déboutonné mon chemisier, m'a sucé les pointes des seins, a remonté mon soutien-gorge. Puis il m'a ôté ma jupe, et je me suis retrouvée en slip et soutien-gorge face à un nouvel amant qui bandait dur. Quelques minutes après, nous étions tous les deux en sous-vêtements, étendus sur le lit, et nous nous caressions. Je tenais la bite du type, et je le branlais délicatement. Il s’est soulevé et s’est allongé sur moi et, écartant l'élastique de mon slip, il m'a pénétrée profondément. Il m'a bien fait jouir trois ou quatre fois. Je le sentais prêt à jouir, alors je lui ai demandé de se retirer. Il s'est mis à genoux au-dessus de moi et il s'est branlé entre mes seins, dans mon soutien gorgé. Il a joui très fort en m'envoyant une belle giclée de sperme sur la bouche, le visage et la poitrine. Je me suis essuyée avec le drap pendant qu'il se rhabillait. Puis je me suis habillée et il m'a reconduit à ma voiture. On ne s'est jamais revus. Depuis près d'un an, j'ai découvert le plaisir de boire le sperme de l'homme. Parfois, il m'arrive d'avoir une aventure dans un magasin. Cela se passe aux toilettes. Je suis assise sur le siège, et l'homme est debout face à moi, la bite raide. Je le branle et le suce jusqu'à ce qu'il éjacule au fond de m’a gorge. J'avale tout, je nettoie sa bite de ma langue, et le type repart. Il m'arrive quelquefois, après avoir sucé le type, de déboutonner mon corsage et de fourrer sa bite dans mon soutien-gorge. Le type, très heureux, éjacule à gros jets dans les bonnets de mon soutien gorge. Je ne vous dis pas l’état de mon slip , tout mouillé de mon plaisir. Puis le type s’en va. Je reboutonne mon chemisier et je quitte les toilettes, pleine de l’odeur du type, les seins mouillés de sperme. Je sens l'homme et je suis sûre que certaines personnes le sentent également. J'aime le sperme, je n'y peux rien... J'aime voir couler, ou plutôt jaillir la semence tiède d'un homme, la voir gicler du petit trou de sa bile et s'écraser sur mon visage, sur mes seins, sur mon ventre ou dans ma main, ou même sur le drap. J'ai plaisir alors à lécher le tissu blanc plein de semence, pendant que le type me caresse l'entrecuisses. Il y a quelque temps, je me suis fait draguer en ville par un type, plutôt bel homme, la trentaine. Nous sommes allés dans un hôtel où il m'a fait l' amour pendant quatre heures. Au début, je ne voulais pas le laisser jouir en moi. Aussi, après qu'il m'a pénétrée une première fois, je l'ai branlé. Il a joui dans mon cou à gros jets et je me suis barbouillé la poitrine de son sperme. Après quelques minutes, il rebandait. Nous avons refait l'amour. Là, il m'a prise en levrette et m'a bien besognée. Je lui ai demandé de ne pas jouir en moi. Très gentil, il a éjaculé sur mon dos, mes fesses et mon anus. Nous avons discuté. J'ai appris qu'il faisait partie d'une équipe de foot. Il me demanda d’être leur mascotte, leur marraine. J’ai accepté, je constatais qu’il rebandait. Quel homme ! Il me fit étendre sur le ventre et grâce au sperme qui était resté sur mon anus il me sodomisa. Bien que sa bite fût très grosse, il me sodomisa d'un seul coup, me faisant crier de douleur et de plaisir. J'ai littéralement dévasté le lit, tirant le drap à moi, le mordant, l'étirant en tous sens tellement je jouissais. Il m'a saisi les hanches et s'est collé à moi. Je sentais ses boules frapper mon vagin et j'ai joui au moment où, se cramponnant à mes fesses, il faisait gicler son sperme en moi. Quinze jours après, j'étais sur le terrain,. Minijupe rose, tee-shirt rose et vert, j'étais leur mascotte. Ils n'avaient d'yeux due pour moi, et ils m'ont tous mis la main sur Ies fesses en entrant sur le terrain. Hélas ! ce jour-là ils ont perdu. Mais moi j'ai gagné. Etant leur mascotte et en leur ayant pas porté chance, j'ai eu un gage. J'ai dû les sucer tous les onze, plus les deux remplaçants ! Cela s'est passé chez Patrick, le célibataire. Ils m'ont fait mettre quasiment nue, ne me laissant que mon petit slip brésilien et mon soutien-gorge rose. A quatre pattes sur le lit de Patrick j'ai dû les sucer tous les treize. C’était fatiguant de passer d’une bite à une autre sans arrêt. Ils ont éjaculé tous les treize dans ma bouche et je les ai bu sans en perdre une goutte. Aucun ne m'a fait l'amour, mais tous ont touché ma fente et mon anus et y ont glissé leur langue et leurs doigts, et je n'ai pas laissé une seule goutte de leur semence s'écouler sur le drap. Le match suivant, ils l'ont gagné, et j'ai eu une récompense. Cela s'est passé chez Gérard, dans la chambre conjugale. Son épouse, Geneviève, participait. Comme la première fois, je fus mise à demi nue au bord du lit, à droite, pendant que Geneviève Était à gauche. Ils m'ont baisée et enculée tous les treize. Leurs bites raides allaient de mon vagin à celui de Geneviève. Ce fut Gérard qui ouvrit l'anus de son épouse en premier, pendant que le numéro 7 s'enfonçait dans le mien. Ils enculaient l'une pour éjaculer dans l'autre, et j'avoue que le manège était plaisant. Geneviève et moi étions cramponnées aux draps roses. Ils se vidèrent dans notre anus. Ce jour-là, ils nous baisèrent et nous sodomisèrent jusque tard dans la soirée. Ce fut une soirée fantastique 
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